Joyeuse saint-Valentin
ou pour les rabat-joie célibataire qui déprime dans leur coin ou qui passe la soirée avec maman... bah Bonne soirée :P (private joke)
On va revenir un peu en arrière... et je vous laisse découvrir la scène du point de vue de Lois ;)
Pov lois.
Les jours suivants la convention de Wayne furent aussi captivants
que ceux d'avant, pourquoi ne trouvais-je pas de bonne première page à me
mettre sous la dent ! Je me concentrais devant les coupures de journaux et je lisais en diagonal
tous les papiers que j’avais accumulé espérant trouver quelques choses.
« La Luthorcorps vend son usine pharmaceutique au nord de Metropolis pour ouvrir un plus grand centre dans le sud de la ville : objectif à la création de 1000 emplois supplémentaires »
ça a toujours était son truc les OVNIS, commentais-je.« La Luthorcorps investis des millions dans la recherche spatiale ! »
Il y avait de nombreuses
coïncidences, sans liens apparents. Arrg !! Toujours ce cul de sac en ce
moment !! J’enrageais !! Avais-je perdu mon instinct ?
Jimmy avait découvert une photo
de Luthor, avec ce Jim Para, l’homme que j’avais suivi dans l’entrepôt. Il
avait découvert son nom, et ça nous avait permis de savoir qu’il n’était qu’un
petit malfrat de rue, sans grande envergure, le genre Bruno Manheim… Que faisait-il
au côté de Lex Luthor.
« Lex Luthor investi des millions dans la sécurité des rues de Metropolis : Le Maire s’interroge sur ses motivations, souhait-il briquer un mandat politique aux prochaines élections ? »
« Le Maire offre les clés de la ville à Lex Luthor : il est le premier employeur de la cité »
Sur la photo qui illustré
l’article, on voyait Luthor souriant et heureux. Il savait jouer les bons
samaritains. C'était petite fille lui avait tendu le coussin avec la clé d’or et
voilà qui l’avait prise dans ses bras pour poser sur la photo. Cette image
était digne d’une campagne politique avec en titre « Luthor, le grand
philanthrope de Métropolis. » Ça n’était pas la première fois qu’il
recevait les honneurs de la ville pour son dévouement et sa fortune. Mais que
faisait-il maintenant, il créait, sa propre police privé « Luthor Sécurité
». Il fallait reconnaitre qu’il n’hésitait pas à y mettre les moyens, mais je
n’avais décidément pas confiance. Le Maire craignait pour son mandat, moi il me
donnait des frissons dans le dos.
Une nouvelle police, pourtant, un
quartier restait en retrait… le nord de
Métropolis était en proie à la montée en puissance de petits gangs dans les
endroits les plus pauvres de la ville. Peut-être que Luthor, en bon samaritain,
devrait s’intéresser à sécuriser ces quartiers-là. C’est comme s’il y avait
deux villes dans la ville. Celle protéger, et celle de plus en plus difficile.
Si c’était un mandat politique qu’il voulait, il devrait sans doute y trouver
un électorat intéressant.
Je relisais mon article non
publié. « Découverte d’un entrepôt secret plein d’OVNIS ». Se
pourrait-il que ce soit lié à Luthor ? Surement, mais « je veux des
faits, Lois !!! Sans fait, aucune publication ne sera autorisée !!
Revenez quand vous aurez du concret, sinon sortez de mon bureau et allez
bosser !! » J’entendais, sans même le voir, la voix de Perry White rabâcher
sans cesse la même rengaine !
- Lois, je veux que vous alliez à
la conférence de presse donné par le maire, et trouvez-moi un bon scoop bon
sang !
- D’accord Perry, j’y cours,
disais-je à contrecœur. Bref, rien de bien intéressant, pas de scandales bien
véreux à me mettre sous la dent.
La conférence avait duré une
bonne heure, et une autre pour les réjouissances histoire de se mettre tous les
grattes papier de Métropolis dans la poche. Mais on m’achèterait surement plus
facilement avec un pack de six qu’avec du champagne et des bouchés de fois
gras/chocolat… breuk ; Et tout ça, au frais du contribuable ?
J’étais contente de revenir au
bureau, j’allais vite fait écrire cet article et me remettre à mes réflexions.
Je ne trouvais pas le point d’entrée pour le moment, mais je devais creuser.
A peine, les portes de l’ascenseur
s’ouvrait que Jimmy me sauta dessus.
- Ah Lois, je suis content de te
voir.
- Perry veut te voir
immédiatement.
- Encore ? je viens à peine
de rentrer.
- Il m’a dit, « des que Lois
arrive, vous me l’envoyer. » dit-il en imitant la grosse voix de Perry de
façon pas très habile. Alors je te
préviens, mais tu vas pas être contente... Il y a un nouveau dans le journal, il a l'air cool d’ailleurs, mais il semblerait que Perry veuille
que tu le prennes sous ton aile. Me
dit-il sur le ton de la confidence.
- Quoi ??!! C’est quoi cette
histoire ?? Un équipier ? Et un nouveau en plus ?? Hors de
question, je n’ai pas le temps de jouer les nounous !
Sans même poser mes affaires, je
me précipitais et entrais dans le bureau de Perry avec fracas, sans m’annoncer.
Il se leva immédiatement.
- Lois que…
- C’est hors de question que je
fasse équipe avec un nouveau. Dis-je tout de tact
- Puis-je savoir depuis quand
vous donnez les ordres ici ? répondit-il avec colère.
- Jimmy vient de me dire que vous
envisagiez de me rendre responsable de quelqu’un.
- Alors de un, Jimmy c’est
trompé.
- Vraiment ? Répondis-je
soulagé. Il ne perdait rien pour attendre celui-là !
- Oui, je ne veux certainement
pas vous rendre responsable de quelqu’un, je veux que vous fassiez équipe, et
de deux, il se mêle de ce qui ne le regarde pas. Il va falloir qu’il apprenne à
tenir sa langue celui-là !
- Equipe ?
- Oui, un partenariat.
- Mais enfin Perry, je ne suis
pas faite pour travailler en équipe.
- C’est encore moi qui décide ici
de ce que je souhaite ou non pour ce journal ! dit-il avec colère, mais il se radouci rapidement. En ce moment, vous n’avez
pas l’air très en forme, un partenaire vous reboostera un peu.
- Perry, je vous assure que ça
n’a rien à voir. Je ne suis pas faite pour travailler avec quelqu’un.
- ça vous avez plutôt bien réussi
en Afrique. C’est d’ailleurs le dernier scoop que vous m’avez sorti. dit-il, ses épais sourcils se soulevant !
"Touché Lois!"
"Touché Lois!"
- C’était différent, la personne
avec qui j’ai travaillé est quelqu’un d’intelligent, et qui s’est parfaitement
adapté à ma personnalité. Je ne suis pas du genre à m’adapter, moi ! râlais-je encore plus.
- Très bien, ça tombe bien, car
il est de ce genre, vous allez…
- Je ne suis pas prête à partager
quoique ce soit avec quelqu’un. Perry, dis-je plus fort pour être sûr qu’il me
comprenne.
- Je suis désolé, va falloir vous
y faire Lois. Et ne soyez pas si pessimiste, c’est peut-être le début d’une
grande et nouvelle aventure pour vous.
- Une aventure ? Perry, je suis
une femme indépendante, je travaille seule et ça me plait.
- Je suis sûr que ce nouveau
partenaire vous plaira Lois. Dit-il sur de lui et confiant.
- Perry, Je vous en prie, le
partenariat, c’est comme un mariage.
- C’est exact, et c’est ça qui
est génial. Répondit-il enthousiaste
- Ça demande de la patience, de
la compréhension et surtout des trésors de bonne volonté. C’est-à-dire, tout ce
que je ne suis pas ! Avouais-je sans complexe.
- Je sais mon chou,
courage ! Maintenant, laissez-moi vous présentez votre moitié.
A ce moment, j’entendis quelqu’un
se racler la gorge. Je me retournais, rétissante comme jamais. Je bouillais de
frustration, jusqu’à ce que je croise son regard...
Je pense que ma première pensée
en le voyant dans l'entre bâillement de la porte fut "pincez moi, je
rêve?" Pas que j'avais souvent rêvé de lui depuis mon départ... Qu'est-ce
que je raconte, j'avais presque du mal à ne pas penser à lui. Evidement que
j'avais rêvé de lui. Arrg !
La seconde pensée fut
"qu'est-ce qu’il faisait là ? Je crois que j’avais déjà oublié qu’on était
en train de me présenter mon nouveau partenaire.
La troisième... Et bien… Je n’en
avais pas la moindre idée... Tout ce que je ressentais maintenant c'était son
odeur envoûtante qui m'avait déjà bercé il n’y avait pas si longtemps pendant
une nuit fraiche en Afrique…
- Euh, salut Lois. Dit-il d'une
voix douce. Je suis moi aussi très content de te voir.
Cette dernière phrase me ramena
brusquement à la réalité. Que...
"Oups" sans même m'en
rendre compte mes jambes m'avaient porté jusque dans ses bras.
J'espérais ne pas rougir, mais quand
je croisais ses yeux bleus magnifiques et son sourire en coin, je craquais
encore une fois et me senti partir très très loin et je ne sais ou…
Le raclement de Perry White me sortit
pour te bon de ce moment, que malgré moi j'avais trouvé délicieux. C'est pas vrai... alors j'avais vraiment passé mon temps à fantasmer sur lui !
- J'espère ne pas avoir eu tort de vous mettre ensemble ! Nous ne sommes pas ici pour se faire des mamours mais pour bosser. C’est d’un partenariat professionnel dont je parle.
- J'espère ne pas avoir eu tort de vous mettre ensemble ! Nous ne sommes pas ici pour se faire des mamours mais pour bosser. C’est d’un partenariat professionnel dont je parle.
Si j'avais réussi à maintenir le
rouge de mes joues jusqu'à présent... Là, je doutais que se fut le cas pour
cette fois, surtout que "il faisait très chaud ici tout d'un coup!
Non?" pensais-je en secouant une feuille devant moi pour me faire de l’air.
- Euh, Pas du tout Perry, ça
alors, Clark, c'est donc toi mon nouveau partenaire !
- Oui, j'espère que tu n'es pas
trop déçu. Dit-il comme s'il se moquait.
Alors là ! Tu ne vas pas t’en
sortir comme ça Boyscoot !
- C'était un stage que je t'avais
proposé pas un emploi! Répondis-je en lui faisant un clin d'œil. Il est chou
quand il sourit.
- Je suis content que ce
partenariat vous agrée Lois. Mais maintenant que vous êtes là tous les deux, laissez-moi
un peu vous expliquer ma vision de votre « couple » ! Lois, vous
avez l'expérience du terrain, je veux que vous lui montriez tout ce que vous
savez ici, vos sources, vos sujets d'articles... Tout !
Je ne vais quand même pas tout lui donner.
Je ne vais quand même pas tout lui donner.
- Quoi? Dis-je malgré moi. Hors
de question que je partage ! Il avait beau avoir un sourire de tombeur, ce
n’était pas une raison. "Perry, se sont mes sources que j'ai mis des
années à établir, pourquoi je devrais tout lui filer."
- Lois! Mettez-y un peu du votre.
J'ai étudiez la carrière de notre ami ici présent, et je suis sûr que vous
ferez un couple magnifique sur le papier. Mais quand je parle de
"couple" c'est exactement ce que ça veut dire... Va falloir apprendre
à partager. Vous verrez, ça vous fera du bien !
- Que... Comment osait-il.
- Clark, d’après ce que j’ai lu,
vous avez un coup de crayon vif et pertinent, qui prend réellement les gens aux
trips quand vous écrivez. Prenez-en de la graine Lois. Dit-il en me regardant.
Et peut-être que vous allez enfin finir de mettre des double lettre à tous vos
mots ! Clark, vous n’avez jamais travaillé avec le stress des délais, et
vous avez toujours eu le temps de pofiner vos articles… Maintenant va falloir
me prouver que vous gardez votre talent de rédacteur même dans des délais très
raccourcis, le but est toujours l’édition. Faut aller vite.
- La vitesse, ça me connait,
Monsieur White. Intervint-il.
Je ne savais pas comment me
sentir ! D'un côté, j'étais contente de revoir Clark (oui, je devais bien
me l'avouer... Dès que je croisais son regard, j'avais comme des papillons dans
le ventre... Je me sentais toute légère (mais c'est horrible!! Qu'est se qui
m'arrive!!)).
D'un autre, Clark était sans
doute le collaborateur le plus prometteur que j'avais jamais rencontré... Il
était certainement capable de me passer devant. Mon esprit de compétition était
en train de s'emballer. Et en plus je devais lui mâcher le travail!!
J'enrageais... Putain tu as des yeux magnifiques!! Arrgggg!
Perry nous congédia après nous
avoir donné nos sujets de rédaction et je me dirigeais à mon bureau, Clark sur
les talons. A mon grand étonnement il s'installa juste face de moi. Je le
regarderais surprise.
- Jimmy m'a dit que je pouvais
m'installer ici. Dit-il innocemment.
- Bon, je suppose que tu es déjà
briffer sur le fonctionnement du Planet... Maintenant laisse-moi te donner
quelque règles de conduite avec moi. Si en Afrique tu pouvais imposait ta
loi...
- Imposer ma loi ? Moi? Dit-il en
levant les sourcils interrogatifs. Ça n'a jamais était mon impression.
- J'ai jamais dit que j’étais du
genre à faciliter la tâche ! Bref. Ici, t’es un p’tit nouveau, un
bleu, si tu préfères ! Alors si tu ne veux pas te faire manger tout cru par les Lions de
la jungle urbaine, je te conseil de ne pas trop d’éloigner de moi.
- ça me va très bien. Répondit-il
en souriant. Même si je n’ai pas peur des Lions.
Bon sang, je sentais que les
jours suivants allaient être très difficiles à gérer, mais surement intéressant
rajoutais une petite voix plus profonde. Oui, surement très intéressant me
répétais-je en me perdant dans ses yeux...
(à suivre...)
J'espère que ses retrouvailles vous ont plut... maintenant à vous de bosser un peu et de me dire se que vous en avez pensé :)
à trés vite pour la suite... maintenant je pense qu'on va en manger un peu du Clois... quoique... va bien falloir trouver quelques choses pour compliquer un peu tout ça... Des idées ?
(à suivre...)
J'espère que ses retrouvailles vous ont plut... maintenant à vous de bosser un peu et de me dire se que vous en avez pensé :)
à trés vite pour la suite... maintenant je pense qu'on va en manger un peu du Clois... quoique... va bien falloir trouver quelques choses pour compliquer un peu tout ça... Des idées ?