Le soleil brillait, en cette belle journée d'été. Il faisait chaud et il n'y avait pas un seul nuage dans ce ciel d'un bleu profond.
Aujourd'hui, je m'étais levé particulièrement tôt pour profiter d'une journée paisible. Mon seul compagnon et de toujours était Krypto, mon chien qui me suivait à travers mes champs comme ailleurs.Ce chien ne me laissait et ne me laissera jamais seul.
A présent, au milieu des blés, j'évaluais le temps qu'il leur restait avant la récolte. Ses moments étaient paisibles et simples. Ils me ramenaient des années en arrière quand mon père essayait de me faire comprendre l'importance de la terre. Oui, c'était il y a des années.
Travailler la terre était réconfortant pour moi, même agréable.
Je marchais dans ce champ, laissant glisser les brins de blé dans ma main et profitant de l'instant.
La chaleur environnante avait souvent un impact somnolent sur la plupart des hommes de cette terre, moi, il me donnait simplement plus de force.
Je levais mon visage vers le ciel, tout en fermant les yeux, savourant la puissance du soleil qui s'infiltrait dans les moindres pores de ma peau.
Depuis plusieurs années, ma vie ne se résumait pas à beaucoup plus de choses. Je profitais simplement de la nature, de cette nature préservée que je redécouvrais ici. Voir mon blé pousser, voir mes troupeaux paître et s'agrandir, profiter des moments simples avec mes chevaux et mon chien, voir la nature évoluer, à son rythme... Rythme que j'avais décidé de suivre.
Plus de combat, plus de violence, plus de responsabilités. Seulement un peu de paix.
Quand je suis revenu à Smallville, il y a 15 ans, jamais je n'avais imaginé m'acclimater si facilement. Ici, sur la terre de mes ancêtres, enfin de mes ancêtres terriens évidement, j'avais refait ma vie.
Pourquoi est-ce que ça avait été si important pour moi? J'y étais à peine retourné depuis près de 90 ans. Mais il y a 15 ans, c'était devenu une évidence.
Le seul autre endroit sur terre où je me sentais en paix.
Smallville avait réussi à garder sa nature de petite ville agricole, malgré l'étendue des gigalopoles alentour. Métropolis restait encore loin de Smallville, mais qui sait... Un jour peut-être finira-t-elle par l'atteindre?
Je continuais de marcher vers le potager, un enclos d'une centaine de mètres, entouré des mes chevaux.
Depuis plusieurs années, ma vie ne se résumait pas à beaucoup plus de choses. Je profitais simplement de la nature, de cette nature préservée que je redécouvrais ici. Voir mon blé pousser, voir mes troupeaux paître et s'agrandir, profiter des moments simples avec mes chevaux et mon chien, voir la nature évoluer, à son rythme... Rythme que j'avais décidé de suivre.
Plus de combat, plus de violence, plus de responsabilités. Seulement un peu de paix.
Quand je suis revenu à Smallville, il y a 15 ans, jamais je n'avais imaginé m'acclimater si facilement. Ici, sur la terre de mes ancêtres, enfin de mes ancêtres terriens évidement, j'avais refait ma vie.
Pourquoi est-ce que ça avait été si important pour moi? J'y étais à peine retourné depuis près de 90 ans. Mais il y a 15 ans, c'était devenu une évidence.
Le seul autre endroit sur terre où je me sentais en paix.
Smallville avait réussi à garder sa nature de petite ville agricole, malgré l'étendue des gigalopoles alentour. Métropolis restait encore loin de Smallville, mais qui sait... Un jour peut-être finira-t-elle par l'atteindre?
Je continuais de marcher vers le potager, un enclos d'une centaine de mètres, entouré des mes chevaux.
Les fruits et légumes étaient magnifiques, gros, fermes et juteux. Beaucoup étaient prêts pour la vente de demain au marché. Je récoltais les plus prometteurs.
Mes récoltes avaient un certain succès en ville, bien que le gain ne fût pas ce que je recherchais particulièrement, beaucoup appréciaient le caractère authentique et bio de mes denrées. Des légumes sans produits chimiques ou sans modifications génétiques étaient devenus quasi introuvables dans le pays. Mais je devais avouer que j'avais certaines facilités physiques que les autres agriculteurs n'avaient pas. C'était un monde dur, et pas très attirant... Le monde agricole dans ce pays devenait une des activités les plus rares. Mais pour moi, c’était différent, elle me permettait de ressourcer.
Au début, j'utilisais un vieux tracteur, mais il avait fini par rendre l’âme après seulement 2 ans d'utilisation. Je m'étais résigné. Et finalement, utiliser mes propres mains devint un vrai plaisir. Une façon de me défouler un peu. Après tout, ne pas utiliser les pouvoirs qui faisaient partie de moi était quelque-chose d'impossible au quotidien. Et avec le travail de la terre, j'apprenais la patience qu'il fallait avoir quand on travaillait main dans la main avec la nature.
J'étais là, mes cageots presque pleins, en plein milieu de mes plus belles plantations.
- Pourquoi tu ne fais pas ça en super vitesse? M'interrompit une voix, dont je n'avais même pas soupçonné la venue.
(à suite...)
Mes récoltes avaient un certain succès en ville, bien que le gain ne fût pas ce que je recherchais particulièrement, beaucoup appréciaient le caractère authentique et bio de mes denrées. Des légumes sans produits chimiques ou sans modifications génétiques étaient devenus quasi introuvables dans le pays. Mais je devais avouer que j'avais certaines facilités physiques que les autres agriculteurs n'avaient pas. C'était un monde dur, et pas très attirant... Le monde agricole dans ce pays devenait une des activités les plus rares. Mais pour moi, c’était différent, elle me permettait de ressourcer.
Au début, j'utilisais un vieux tracteur, mais il avait fini par rendre l’âme après seulement 2 ans d'utilisation. Je m'étais résigné. Et finalement, utiliser mes propres mains devint un vrai plaisir. Une façon de me défouler un peu. Après tout, ne pas utiliser les pouvoirs qui faisaient partie de moi était quelque-chose d'impossible au quotidien. Et avec le travail de la terre, j'apprenais la patience qu'il fallait avoir quand on travaillait main dans la main avec la nature.
J'étais là, mes cageots presque pleins, en plein milieu de mes plus belles plantations.
- Pourquoi tu ne fais pas ça en super vitesse? M'interrompit une voix, dont je n'avais même pas soupçonné la venue.
(à suite...)
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