C'était étrange, la douleur disparaissait petit à petit, comme si tout mon corps disparaissait en même temps... Je ne sentais plus rien, je n'avais plus la moindre sensation. Mon souvenir le plus vivace était cet envol que j'avais réussi avec mon adversaire dans les bras, et cette chute, toujours plus rapide vers le sol... Puis le noir, puis plus rien.
Étais-je mort? Était-il mort?
Une douleur fulgurante dans mes poumons me sortie de mon inconscience... Je suis vivant ? Je sentais à présent la poussière et une odeur minérale autour de moi. J’étais recouvert de roche.
"Clark" cria la plus belle voix que j espérait entendre. « Je t'en supplie, non... »
C'était Lois... Elle s était sans doute précipité vers moi et je l'imaginais en train de dégager les pierres qui me recouvrer et qu'elle pouvait porter. La douleur venait de là.
- Non, non, l'entendais-je supplier. Elle était si prêt... Je voulais la voir... J’essayais de bouger, mais je n’avais plus la force. Il m’en fallait encore un peu, je voulais pouvoir ouvrir les yeux, j'avais besoin de la voir. La voir une dernière fois...
Ma force n’était plus... C'était la fin, j’allais la quitter, pour la retrouver tout de suite après. Je n'avais pas peur... Non je n'avais pas peur.
Je fini par trouver la force d'ouvrir les yeux, la lumière était aveuglante, et la douleur réapparu plus intense que tout se que je connaissais. Même ce simple geste devenait dure...
Je levai les yeux vers la voix de Ma femme pour la voir, accroupie près de moi. Elle me prenait dans ses bras, passant un bras sous mon cou alors que son autre main se posait sur ma joue. Je la voyais pleurer et sentais ses larmes glisser sur mon visage...
J'avais envie de sourire tellement je la trouver belle.
J'espérais qu'une seule et unique chose, la protéger.
Mon cœur eu un raté, qu'en était-il?
Je regardais Lois avec crainte.
- Accroche-toi. Je t’en supplie. Les secours vont arriver. Je t’en pris.
- Doomsday… il est… est-il détruit? Articulais-je difficilement envers Lois.
- Oui, Tu l’as arrêté, tu nous as sauvé, tu nous as tous sauver!
J'étais soulagé.
Difficilement j approchais la main de sa joue, comme je l avait fait un nombre incalculable de fois... Elle tenait dans ma paume, si belle, si fragile, si aimante... Ma main était recouverte de sang, je saignais ? C'était si rare qu'à chaque fois j'en étais étonné.
Elle s'avouera la sensation, et se blotti sur ma paume.
- Ne... T’inquiète pas mon amour, je te retrouve bientôt... Dis-je d'une voix tremblante.
- Tu ne peux pas mourir Clark, je t'en pris bat toi. Les secours vont arriver, tiens bon! Répéta-t-elle avec détermination.
- Ma fin est là, elle vient tard, ne t'inquiète pas, j ai eu la plus belle des vie grâce a toi.
Lois continuait de pleurer, « Nous allons vivre une belle vie... Oublie cette journée et profite de notre avenir. »
Je regardais Lois avec crainte.
- Accroche-toi. Je t’en supplie. Les secours vont arriver. Je t’en pris.
- Doomsday… il est… est-il détruit? Articulais-je difficilement envers Lois.
- Oui, Tu l’as arrêté, tu nous as sauvé, tu nous as tous sauver!
J'étais soulagé.
Difficilement j approchais la main de sa joue, comme je l avait fait un nombre incalculable de fois... Elle tenait dans ma paume, si belle, si fragile, si aimante... Ma main était recouverte de sang, je saignais ? C'était si rare qu'à chaque fois j'en étais étonné.
Elle s'avouera la sensation, et se blotti sur ma paume.
- Ne... T’inquiète pas mon amour, je te retrouve bientôt... Dis-je d'une voix tremblante.
- Tu ne peux pas mourir Clark, je t'en pris bat toi. Les secours vont arriver, tiens bon! Répéta-t-elle avec détermination.
- Ma fin est là, elle vient tard, ne t'inquiète pas, j ai eu la plus belle des vie grâce a toi.
Lois continuait de pleurer, « Nous allons vivre une belle vie... Oublie cette journée et profite de notre avenir. »
J'entendais le cœur de Diana battre fort juste à coté de Lois.
- Par Héra... Non...
- Par Héra... Non...
Je profitais du peu de temps qu’il me restait à vivre pour savourer les bras de
Lois prêt de moi.
- Diana, fait quelque chose ! Ramène le dans le futur, soigne-le! Entendis-je lois supplier.
Je sentis la main de Diana se poser sur mon torse. Essayant sûrement de sentir mon cœur. Mais il n'y avait plus rien à faire. Je savais au fond de moi que c était la fin, je sentais ma Lois pas très loin qui m attendais. Je n'avais plus rien à faire ici.
- Je... Je ne peux rien pour
lui... Je suis désolée, entendis-je énoncé la princesse d'une voix lointaine et
chevrotante.
"Non, Clark ne t'endors pas, bats toi, tu ne peux pas mourir !
Tu m’entends ! Tu ne peux pas mourir !"
Je voulais encore la voir, alors j’utilisais les dernières forces pour la
regarder et lui sourire. Ma tête commençait à tourner, j’avais la nausée et
froid mais je m’en fichai. Lois me serai contre elle. Je la regardai d’en bas,
les nuages encadrant son merveilleux visage.
Mais il était si triste… si
désemparé. Je pris sa main dans la mienne et la portai à mon cœur. Elle
tremblait en dessous de moi je le sentais. Je ne voulais pas qu’elle ait peur,
je ne voulais pas qu’elle se mette dans des états pareils.
- Ne t inquiète pas, chérie... Je
t'aime... Pour toujours...
Je déglutissais un instant,
occultant tout ce qui n’étais pas elle. Je me sentais bien. Je n’avais plus
mal. J’avais juste froid, très froid… Je lui souriais et essaya une fois encore
de lever la main pour toucher son visage, mais je n'y arrivais plus. Elle la prit
alors et la posa elle même sur sa joue. Elle ferma les yeux en la calant un peu
plus. Les larmes envahissaient son visage.
Une douleur repris saisissante
dans mon corps et je me sentis trembler.
Je serrais les dents pour pouvoir faire taire la douleur et inspirais profondément pour lui parler :
- Lois, soufflai-je.
- Ne parle pas il faut… il faut
que tu gardes un maximum de forces, bafouilla-t-elle alors que les larmes
inondaient son visage.
- Diana ! Fais quelque chose, je
t'en pris! C'est ton ami ! Entendais-je Lois supplier vivement.
Elle ne voulait pas l'admettre. Mais moi je le savais. C'était trop tard. J’étais fatigué, si fatigué. Je voulais juste dormir et puis ce froid, c’était étrange, je n'avais pas l'habitude de ressentir ce genre de chose. Je voulais fermer les yeux, juste quelques secondes, une minute tout au plus mais la voix de Lois qui pleurait toujours m’en empêcha.
Elle ne voulait pas l'admettre. Mais moi je le savais. C'était trop tard. J’étais fatigué, si fatigué. Je voulais juste dormir et puis ce froid, c’était étrange, je n'avais pas l'habitude de ressentir ce genre de chose. Je voulais fermer les yeux, juste quelques secondes, une minute tout au plus mais la voix de Lois qui pleurait toujours m’en empêcha.
- Non ne… il ne faut pas que tu
dormes Clark, il… il faut que tu restes éveillé tu comprends ? Ouvre les yeux, regarde-moi
! me supplia-t-elle en exerçant plus de pression sur ma joue avec sa main.
- Ju... Juste une minute, quémandais-je.
- Ju... Juste une minute, quémandais-je.
- Non! Regarde-moi ! Me demanda
d'elle encore une fois, sa voix chevrotante.
Les mains de Lois sur mon visage,
sa personne toujours penchée au dessus de moi, son visage, son odeur, à cet
instant j’eus envie d’imprimer chaque détail, chaque partie d’elle avec
l’impression qu’elle allait disparaître.
- Clark, reste avec moi !
Mais je ne pouvais plus, mes
paupières étaient trop lourdes et sa voix devenait lointaine. Je vis à travers
mes paupières mis closes un semblant de lumières. Je perçus encore quelques
bribes de conversation.
- Diana, aide-le...
- Diana, aide-le...
- je suis désolé Lois. Il n'y a
plus rien à faire. Répondit la voix qui me semblait être celle de mon amie.
Je ne compris pas la suite car je sombrais. J’avais l’impression de tomber dans du coton ou quelque chose du genre. Tout était noir si noir mais la seule chose qui m’apparut dans toute cette absence de lumière fut son visage. Lois…
Je ne compris pas la suite car je sombrais. J’avais l’impression de tomber dans du coton ou quelque chose du genre. Tout était noir si noir mais la seule chose qui m’apparut dans toute cette absence de lumière fut son visage. Lois…
A cet instant je me sentis
submergé par tous les détails qui la concernaient, le tout se superposant à une
vitesse frénétique. Ses yeux, son sourire, son rire, ses bras, ses étreintes,
son odeur, son corps. Puis tout s’estompa et elle disparut…
Puis le noir.
Puis le silence.
Puis un murmure.
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