Pov Lois,
Très vite, j’avais pris Clark sous mon aile. Ça avait commençait assez lentement. Mais je devais avouer
que je me sentais très bien, à l’aise et enjoué comme jamais. (je suis folle ou
quoi ?) Clark était vraiment facile, sans être docile. il s’adaptait même
très vite à ma façon de travailler. Il semblait intéressé par ce que je disais
et avait toujours du répondant. J’avais l’impression d’y voir plus clair quand
il était là. Ses idées étaient toujours pertinentes. Jamais je ne lui avouerai,
mais j’adorais réellement travailler avec lui.
Ce jour-là, j’avais décidé
(enfin, « nous » avions décidé… il fallait que je reconnaisse que
l’idée venait d’abord de lui.) d’aller manger dans un restaurant dans les
quartiers nord afin de s’imprégner de l’ambiance. C’était son truc ça, à Clark,
de se confondre et d’observer en silence en s’intégrant comme si de rien
n’était. Mais ça n’était pas vraiment le mien. Je n’avais surement pas assez de
patience. Alors pour compenser, j’avais proposé de déjeuner dans un restaurant
d’un vieil ami de ma famille, histoire de récolter ses propres impressions. Il
habitait le quartier depuis des années, et ces Fondants au chocolat étaient justes
à tomber.
Quand le taxi nous déposa devant
le petit bistrot, je découvrais un quartier méconnaissable. Les poubelles ne
semblaient plus passées depuis des jours tellement il y avait d’ordures dans la
rue. L’odeur nauséabonde aussi n’engageait pas
rester. C’était sale et glauque, même en pleine journée. Clark était sur
mes talons et suivait tout en observant les alentours. Il avait ce visage
crispé que je l’avais vu prendre plusieurs fois depuis son retour. Tout d’un
coup, son regard changé, ses yeux semblaient se perdre dans ses pensées… Totalement
ailleurs, impatient aussi, frustré toujours. Je n’arrivais pas vraiment à
mettre des mots sur la situation, tellement elle semblait soudaine, comme des
souvenirs qui revenaient d’un coup et qui semblait l’avoir marqué. Je lui avais
demandé plusieurs fois ce qu’il y avait, mais il me répondait toujours
« rien », son visage se fermant et son regard devant trop triste pour
que je puisse le croire. Là, il semblait plus inquiet que triste, quand il me
tient la porte du restaurant, mais sur le qui-vive.
Le restaurant gardait une petite
décoration fraiche avec fleurs aux fenêtres, et nappe colorés sur des tables en
terrasse, qui dépareillé avec le quartier. Néanmoins, contrairement à mes
souvenirs, il était totalement vide.
- Lois ! Comme je suis
content de te voir. Ça fait tellement longtemps que tu n’es pas venu ici.
M’accueilli le Gérant quand nous entrions.
- Je sais Mike, je suis très
contente moi aussi de te voir. Dis-je en le serrant amicalement dans mes bras.
- Venez, installez-vous ici.
Mike était un ancien ami de mon
père, militaire de carrière, il avait pris sa retraite il y a longtemps et
s’était reconvertie en gérant de restaurant. Il n’avait jamais fait fortune,
mais ça avait semblé toujours tourné correctement.
Il m’accompagna jusqu’à une table
et au moment de nous assoir, il sera la main de Clark.
-
Je suppose que vous êtes son p’tit ami… introduisa t-il à son
encontre !
« C’est pas vrai ! Pitié ! Ferme là Mike !" m'énervais-je intérieurement
- Oh non, non, pas du tout, pas
du tout, je travaille avec Lois. Je suis son partenaire au journal. Avoua Clark
énergiquement.
- Ah. Répondit Mike.
Pourquoi fallait-il qu’il démente
aussi fortement… deux fois « non », deux fois « pas du
tout ». Etais-se vraiment nécessaire ?
- Mike, Clark est seulement mon
partenaire. Nous sommes venus ici pour te poser quelques questions. Nous avons
appris par la police qu’il y avait une montée en puissance de la criminalité,
et nous aurions aimé faire un sujet sur ce qu’il se passe vraiment ici. Nous
voulions savoir se que tu en pensais, mais rien qu’a voir le quartier, je
constate déjà les changements. C’est méconnaissable ici, ajoutais-je en
regardant tout autour de nous. Que se passe-t-il ici ?
- Ah ça, Tu sais, les affaires
sont dures en ce moment. Je ne sais pas ce qu’il se passe, mais il y a une
recrudescence des problèmes depuis quelques semaines. Des petites frappes de bas étages qui essayent de nous
impressionner par des menaces. Personne ne fait rien pour nous aider. Mais tu
me connais, je ne me laisserais pas faire par la racaille !
- ça c’est sur. Mike a était
pendant un temps instructeurs dans les forces américaine. On peut dire qu'il n'en a pas toujours connu des
garçons très sages à mater ! Dis-je à Clark en prenant une gorgé du
rafraichissement qu’ils nous avaient proposé.
- Je ne te le fait pas dire, toi
par contre, à une époque c’est ton père que tu faisais enrager avec justement
ses garçons pas très sage.
A ces mots, je m’étranglais avec
mon soda. Clark me regarda et un sourire un coin se dessina trop rapidement sur
ses lèvres. « Oh non… » Je voyais dans ses yeux bien trop de malice
pour imaginer que mon vœux qu’il n’est rien entendu puisse être un minimum
exaucé.
- Mike, tu disais que tu avais eu
des menaces ? Quels genres de menaces ? Demandais-je rapidement pour
changer de sujet.
- Certain ont essayé de me faire
peur, j’ai eu quelques dégâts dans mes cuisines, et des menaces de racket de
mon restaurant, mais maintenant des que quelqu’un de louche entre, je l’accueille
comme il se doit. Répondit-il en sortant une arme à feu de derrière son
pantalon. Et ils savent très bien que je sais m’en servir.
- Mike, se n’est peut-être pas la
solution. Dit Clark calmement tout en fixant l’arme, je savais qu’il était
contre la violence et les armes à feu. Surtout après se que nous avions vécu au
Kenya.
- Parce que tu en as une autre
petit ? Beaucoup de mes confrères ont déjà mis la clé sous la porte suite
à ses menaces, ou simplement des difficultés financières. J’ai dû me séparer il
y a quinze jours de ma serveuse qui avait trop peur de venir travailler et que
de toute façon je ne pouvais même plus payé. Le quartier se vide, la police
nous abandonne, il va falloir qu’on se défende nous même. Je ne me laisserai
pas faire, et là bas, dehors, ils sont au courant… crois moi. Ils me font
beaucoup moins chier que les autres.
- Mike à raison Clark, on ne doit
pas céder à la menace. Approuvais-je. Je comprenais son raisonnement, même si
les armes n’étaient pas ma solution, elle était celle des hommes comme mon
père.
- L’autre solution…
serais de me laissez me faire raquetter par cette bande de petits merdeux ou de
vendre mon restaurant.
- Je suis désolée Mike. Dis-je
sincèrement désolée et choquée par toute cette situation qui nous échapper. Et
tu as eu des propositions d’achat ?
- Les propositions ? ça oui…
je pensais pas en avoir autant en si peu de temps. J’aurais du accepter des le
début. Maintenant le prix de l’immobilier a tellement baisser, que même en
vendant, je ne récupérais plus assez pour rembourser toutes mes dettes. Dit-il
désespérer.
- Qui était ton acheteur ?
Luthorcorps ? Demandais-je
- Luthor ? Oh non pas du
tout. Luthor a accepté quasiment sans discussion les offres qu’il a reçu. Je ne
sais même pas s’il a encore une structure de ce côté de la ville.
- Etrange ? Commentais-je à
haute voix
- Pourquoi ? Il a très bien
fait. Il est parti juste avant que tout foute le camp. Ajouta Mike.
- Qui étaient vos acheteurs Mike ?
Redemanda Clark.
- Il y en a eu plusieurs. Attend,
je vais vous chercher les courriers, ils sont dans mon bureau. Et manger un
peu, c’est meilleur quand c’est chaud. Dit-il retrouvant son entrain.
- Il est toujours dans les coups
fourrés. Répondis-je évasive. Clark n’était pas le genre à accusé sans
preuve.
Trop confiant en l’être humain.
- Là, il n’a pas l’air d’être
derrière tout ça.
- Ne le protège pas Clark. Ce
n’est pas un enfant de cœur.
- Je ne dis pas le contraire,
mais là, tout semble ne pas aller dans le sens de Luthor. Bien au contraire.
Une recrudescence de la violence, l’immobilier qui chute, et aucune proposition
de la Luthorcoprs ? Il ne profite pas du système en tout cas.
- Peut-être, que cette fois, il
n’est pas dans le coup. Ou c’est simplement une coïncidence. Il veut établir un
plan de bataille ? Je vais demander à Jimmy de faire un point de toutes
les transactions qu’il y a eu depuis ses dernières semaines. Le quartier se
vide et Luthor en fait partie. Pourquoi ? J’avais effectivement bien vu
qu’il avait vendu son usine pharmaceutique, pour en ouvrir une plus grande dans
le sud, mais toutes ses structures ? Ça serai louche, tu ne crois
pas ?
- Faudrait l’interroger.
- Il est dure à approcher, tu
sais. Il n’accorde que très peu d’interview.
- Je veux bien le croire, il a
toujours était solitaire.
- Toujours ? Comment ça ?
Tu connais Lex Luthor, toi ?
- Oui, nous avons fréquenté la
même école, pendant quelques semaines. Nous étions ami, je crois. dit-il semblant s’interroger en même temps.
- Toi et Luthor ? Alors là,
c’est un scoop !
- Ce n’était pas le garçon le
plus populaire du lycée. Mais personne n'avait réellement essayer de le connaitre. En plus, il n’est pas resté très longtemps. Un passage
éclair, mais qui m’avait marqué.
- Il était tellement intelligent,
que même les professeurs avaient du mal à le supporter. Il était plutôt du
genre arrogant c'est vrai, et ne supporter pas la bêtise. Mais, tout ça, le rendait
surtout très seul. Il s’intéressait à des sujets qui me fasciner moi aussi.
Alors ça nous avait rapprochés.
- Tu me fais un portrait de Lex
totalement inédit, tu sais ça Clark. J’ai pourtant lu ses biographies et je
n’ai jamais vu qu’il avait séjournée à Smallville.
- C’était très bref et violent.
Je ne suis pas sûr qu’il aime en parler. Je l’ai vu la veille de son départ
précipité. Il était devenu totalement dingue. Il parlait d’intelligence supérieure,
de vaisseaux spatiaux, d’invasions aliens.
- Vraiment ? Les extraterrestres
l’ont toujours beaucoup captivé, il ne le nie pas dans ses interviews.
- Oui, je sais. Je ne l’ai jamais
revu depuis ce jour. Je ne sais même pas s’il se souvient de moi. Dit-il
tristement.
- Ne t’en fais pas Clark. Il ne
vaut pas le coup, croit moi. Il est devenu un homme influant dans la science et
les affaires, mais ce n’est pas un homme fréquentable. Crois-moi. C’est un sale
type.
Mike revient rapidement avec une
foule de document.
- Tiens Lois, voici tout se que
j’ai. Si je peux vous aider en quoique ce soit pour sauver mon restaurant,
n’hésitez pas à demander. Je passerai le message si d’autres personnes ont des
choses à vous confier.
- Merci Mike. On va regarder tout
ça, et je te promets de tout faire pour découvrir se qui se passe vraiment.
Clark feuilleta rapidement les
documents de Mike, mais il y en avait un peu trop pour faire ça autour d’un
repas. Après sa délicieuse tourte forestière à la crème, Mike connaissant déjà ma
gourmandise préférée, nous proposa ses délicieux fondants au chocolat. Clark
n’aurai pas le choix d’y gouter aussi. Rien que d’y pensez, j’en salivé
d’avance.
- Tu penses que nous pourrons
trouver quelques choses dans ses notes ? Demandais-je à mon partenaire.
- Il y a plusieurs noms qui semblent
intéressant et qui te parleront surement plus qu’à moi. Dans tous les cas, ça
mérite réflexion. Il se passe effectivement quelque chose ici. Répondit-il
songeur.
J’avais été surpris par ses
révélations sur Lex. Chloé était de la même école et ne m’avait jamais parlé de
Luthor. Je pense que je m’en souviendrais si ça avait été le cas.
- Tiens aufaite Clark, je ne t’ai
pas dit, mais j’ai rencontré ta copine ?
- Hein? mais je n'ai pas de copine ! avoua t-il perdue... "Bingo! ça c'est fait !"
- Une de tes amies, si tu préfères, me reprenais-je, parfaitement consciente que ma question était totalement orientée et intéressée. Il y a une dizaine de jours environ.
- Hein? mais je n'ai pas de copine ! avoua t-il perdue... "Bingo! ça c'est fait !"
- Une de tes amies, si tu préfères, me reprenais-je, parfaitement consciente que ma question était totalement orientée et intéressée. Il y a une dizaine de jours environ.
- Une de mes amie ? répéta-il perplexe. Je ne connais personne ici.
- Je n’ai jamais dit que c’était
à Métropolis.
Il me regarda interrogateur, m’invitant
à continuer. J’essayai de me rappeler le nom de cette greluche… ah oui.
- Non, je plaisante. Je voulais
juste voir l’effet que te faisait l’évocation de son nom.
A mes mots, il me regarda encore
plus étrangement. Totalement déconcerté. "Mais mignon !"
- Chloé. Avouais-je. Elle habite…
- Gotham. Oui. Elle m’a fait parvenir
une invitation pour une conférence. Je n’ai pas pu y assisté.
- Dommage, tu m’y aurais vu.
Répondis-je malicieuse.
- Comment tu l’as
rencontré ? à cette conférence ?
- Non pas tout à fait, enfaite,
je la connais depuis toujours, c’est ma cousine.
- Ta cousine ? répétât-il étonné.
- Et oui, le monde est petit.
Peut-être que nous aurions pu nous rencontrer depuis longtemps. "Et peut-être même faire d'autre choses depuis longtemps... Bip bip... terrain glissant, terrain glissant ! "
- Tu es la fille du Général,
biensur. Elle passait tous ses étés avec toi dans les casernes.
- C’est moi. Répondis-je me
demandant se que Chloé avait bien pu raconter sur moi à l’époque.
- Incroyable, Comment
va-t-elle ?
- Bien, je crois qu’elle attend
de tes nouvelles.
- Comment en-êtes-vous venu à
parler de moi.
- J’ai découvert une photo datant
du lycée ou vous étiez tous les deux. J’ai simplement posé la question. C’était
très amusant de te voir plus jeune, les cheveux plus longs, mais les mêmes
chemises à carreaux que tu portais en Afrique. Me moquais-je gentiment.
- Tu n’as pas eu l’air de te
plaindre quand mes fameuses chemises en flanelle t’ont réchauffé à notre retour du teck.
- Pas sur que tes chemises y étaient vraiment pour grand chose.... Euh… j’ai dit ça tout haut ? me questionnais-je
horrifier.
- Oui. Répondit-il en me
souriant.
Et je craquais encore. Fondant au chocolat, Fondant au chocolat. M’obligeais-je à penser pour sortir Clark de ma tête !
- Tenez, et régalez vous. Nous
dit-il en déposant les assiettes.
- Mike, je ne vais jamais réussir
à manger tout ça. Dis-je à la fois horrifier par les calories que ça pouvez
représenter et déjà alléché par l’odeur du chocolat chaud.
- Si, si, répondit-il Clark. C’est
très bien Mike. Ça à l’air délicieux.
« Oui, c’est bien les mecs
ça, mais je vais devoir faire une séance de footing en plus pendant deux
semaines si je veux garder la ligne… »
"Et ça te calmera peut-être un peu!" ajouta une autre voix dans ma tête
"Et ça te calmera peut-être un peu!" ajouta une autre voix dans ma tête
- Ok, mais tu sais se qu’on dit, Clark,
10 secondes de plaisir, 10 ans sur les fesses. Répondis-je, devant Clark qui
commençait déjà à gouter.
Mike sourit et nous laissa déguster
son gâteau.
- Aufaite, tu ne m’as pas
vraiment dit ce que tu avais fait après l’Afrique. Tu es vraiment partie en
Amérique du sud. Demandais-je tout en avalant une bouché de mon gâteau. "Mmmh,
c’est vraiment trop bon."
- Oui. Je pense que j’avais eu ma
dose de violence avec l’Afrique. J’avais besoin de voir autre chose. J’avais
contacté un scientifique qui travaillait sur la découverte de nouvelle espèce
et je voulais le rencontrer depuis longtemps.
- Et alors ? Il a fait une
rencontre du 3ème type ?
- Surement, répondit-il comme
s’il trouvait réellement cette blague amusante. Mais il ne m’en a pas parlé. Il
a découvert une nouvelle espèce de ver de terre ayant des vertus très
aphrodisiaques.
- Vraiment, un ver de
terre ? Demandais-je septique de l’intérêt du sujet. Clark n’était pas
dupe.
- Oui, je ne suis pas sûr
effectivement que ça t'aurai plus, il n'y avait pas d'explosions, pas d'armes à
feu, pas de malfrats, pas de danger. Me taquina-t-il.
- Ha ha, très drôle Kent!
- Une partie de sa chair pourrait
avoir des effets bénéfiques sur la libido masculine. C'était très intéressant
et je pense que ça fera du bruit. Mais pour le moment les essais n’en sont qu’au
stade embryonnaire, mais en bonne voie.
- Tu veux dire que tu es allé
enquêter sur un ver viagra?!
Il se mis à rire.
- C'est exactement ça.
- Aurais-tu des problèmes de ce
genre? Demandais-je espérant le mettre mal à l'aise.
Il rit encore une fois.
- Je t'assure que pour le moment,
les essais sont juste chimique, et non je n'ai aucun besoin d'être un cobaye.
- Et le ver, il était plutot... euh, gros? l'interrogeais-je me demandant en même temps se qui me prenait de poser de pareilles questions !
Pourquoi j'avais toujours cette impression que nous passions notre temps à flirter?
" Parce que c’est justement ce que tu passes ton temps à faire avec lui Lois !! Ce mec est à tomber, tu rêves de lui arracher ses fringues ! Et de revoir son corps..." STOOOOP !
"Pas du tout, c'est même pas mon style ! Il vient de Smallville après tout ! S.M.A.L.L Ville ! "
"Depuis quand les grands bruns aux corps de rêves ne sont pas ton style ? "
Pourquoi j'avais toujours cette impression que nous passions notre temps à flirter?
" Parce que c’est justement ce que tu passes ton temps à faire avec lui Lois !! Ce mec est à tomber, tu rêves de lui arracher ses fringues ! Et de revoir son corps..." STOOOOP !
"Pas du tout, c'est même pas mon style ! Il vient de Smallville après tout ! S.M.A.L.L Ville ! "
"Depuis quand les grands bruns aux corps de rêves ne sont pas ton style ? "
"Tu racontes n'importe quoi!"
"Je suis ta conscience ! Si t'es pas foutue d'être honnête avec toi même, on n'est pas sortie de l'auberge!"
"Je suis honnête avec moi-même!"
"Alors qu'est-ce que t'attends pour lui sauter dessus?"
" Attends !? Je suis en train de me parler toute seule là ?"
"Oui"
"Je deviens folle ?"
- Il est vraiment délicieux ce
fondant. dit-il en remangeant une cuillère du chocolat. Je n’avais pas
mangé de chocolat aussi bon depuis mon séjour en Suisse je crois bien.
"Essayait-il vraiment de changer de sujet là? ou c'est encore moi qui me faisait des films?"
"Essayait-il vraiment de changer de sujet là? ou c'est encore moi qui me faisait des films?"
- T’es vraiment allez partout
dans le monde?
- Oui, dans beaucoup d’endroits. Avoua-t-il.
- Pourquoi avoir eu envie de
tant voyager ? Demandais-je réellement intéressé.
- Je ne sais pas trop, j’avais
besoin de voir le monde, je crois, de trouver ma place.
- Et tu l’as trouvé ?
- Peut-être bien. Dit-il en
plantant son regard intense dans le mien...
« C'est ce chocolat qui me donne si chaud ? »
- Ou en tout cas, je m’y emploie. Ajouta-il en brisant rapidement notre échange silencieux. Au moins j’ai un boulot, il ne me manque plus que l’appartement.
« C'est ce chocolat qui me donne si chaud ? »
- Ou en tout cas, je m’y emploie. Ajouta-il en brisant rapidement notre échange silencieux. Au moins j’ai un boulot, il ne me manque plus que l’appartement.
- Ah oui? Tu cherches un
appartement. Répétais-je machinalement pour essayer de redescendre sur Terre le
plus vite possible.
- Oui, proche du Daily Planet, et
si possible avec un balcon ou terrasse sans vis-à-vis.
- La perle rare. Commentais-je
- Surement, les grands espaces me
manquent, j’ai besoin de voir le ciel.
- Tu sais, c'est marrant que tu
m'en parle. Il y a justement un appartement qui s'est libéré dans mon immeuble.
Je peux proposer ta candidature. Ils n'ont pas encore mis l'annonce pour
favoriser dans un premier temps le bouche à oreilles, mais c’est à mon étage,
donc au dernier. Par contre, il donne côté nord, donc pas très exposé, mais il
ne devrait pas avoir trop de vis-à-vis de ce côté-là. Et sinon, y’a toujours la
possibilité de mettre des rideaux.
- Dans ton immeuble? Je ne sais
pas si j'aurai les moyens. Je veux dire financièrement. Je n'ai pas beaucoup
d'argent de côté pour la caution. Me confia-t-il mal à l'aise. Je suis un petit
gars de la campagne qui débarque en ville. N'oublie pas.
- Impossible que je l'oubli, ça
se voit trop sur ton visage. Mais, Je pourrais appuyer ta candidature auprès
des copropriétaires. L'influence, doit bien être le seul pouvoir que je possède
dans cette ville.
Il me lança son regard et son sourire
qui me faisait fondre comme une guimauve au soleil. "Reprend toi Lois."
- Écoutes, j'ai une idée, si tu
as l'appartement, tu m'invites au resto.
Il sourit et me tendit la main.
- Marché conclu. Répondit-il.
Encore une fois, je flirtais.
S'en rendez t'il compte ? J'avais l'impression que oui. Comme maintenant,
ou en me serrant la main, je senti comme une caresse furtive de son pouce. Ou
est-ce juste une impression ?
"Putain Lois,
t'as reçu des foutus prix de journalismes et te voilà en train de
disserter comme une adolescente en chaleur de 14 ans pour savoir s'il
t'a effleuré la main avec son pouce volontairement ou pas ! Bientôt tu vas
demander à Chloé qu'elle l'appelle pour voir si tu l'intéresses !
Reprends-toi Lois! Rentre-lui dedans une bonne fois qu'on en parle
plus ! "
Mike nous interrompis en
débarrassant nos assiettes. "Je n'arrivais pas à me décider sur : Merci Mike, je t'adore... ou Mais dégages de là, tu vois pas que je suis occupée?!!"
- Mike, vos fondants sont
délicieux.
- Merci, ça me fait plaisir. Lois
les a toujours adoré aussi. Je vais chercher mon chocolat dans une boutique du
centre qui l’importe directement de Suisse. C'est se qui lui donne son gout
si onctueux.
- Oui, une merveille ce gâteau. Approuvais-je.
En sortant du restaurant je me
fustigée… Qu'est ce qui m'avait pris de lui proposer de venir habiter dans le
même immeuble que moi? Déjà que j'avais du mal à m'en défaire après avoir passé
toute une journée avec lui, alors si en plus il pouvait venir sonner chez moi à
n'importe quelle heure. En plus, je risquais de le croiser rien qu’en
sortant mes poubelles… "misère" Ou même à la buanderie... "où il se baladerait régulièrement en boxer... Stooop... Ne t'aventure pas sur cette voie Lois".
Le pire c'est qu’après ma
proposition, j'avais vraiment du défendre son dossier bec et ongles. Il y avait
eu beaucoup de demandes et Clark ne faisait vraiment pas parti des candidats
les plus intéressants.
"Grand voyageur, pas très
stable depuis des années, journaliste en début de carrière, les recommandations
de Perry White avait certes eu un poids positif, mais tellement minime par
rapport à sa situation patrimoniale inexistante, pas d'économie, pas de
réserves, et un revenu juste confortable pour payer le loyer"
- Mademoiselle Lane, je ne suis
pas sûr que nous puissions retenir ce candidat. M'avais sortir cette vielle acariâtre, Madame Kederman !
- Je ne dis pas qu'il a une
situation financière excellente, mais vous l'avez vu, comme moi. Avec lui, vous
pouvez être sûr d'être payé toujours à l'heure et de la totalité. C'est un bon
gars de la campagne, élevé au bon grain... à l'ancienne et dans le respect des gens. C'est un
homme honnête, croyais moi. Avais-je insisté longuement.
Heureusement que j'étais têtu et
que je savais me faire entendre, car c'était effectivement sa candidature qui
avait était retenu. Bon d'accord, la proposition de me porter garante avait peut-être jouer plus que mes mots ! "Pitié, faites qu’il
ne l'apprenne jamais". En tout cas, je me réjouissais déjà de passer une soirée avec lui au restaurant... Mais
bon sang, il allait habiter juste à côté chez moi...
"Ça va être pratique..."
Super suite le téte entre les deux et lois qui craque literralement et fais méme de lui son voisin sa va etre chaud et j'adore les illustration bravo
RépondreSupprimerMerci Jess pour ton com <3
Supprimeret attends, ce tête à tête n'était que le premier et professionnelle... j'imagine dejà le futur diner :p
Lois risque de craquer encore plus <3
MDRRRRRR ! J'ai trop rigolé ! Excellent ! Bravo ! Toujours au top
RépondreSupprimerLes pensées de Loïs qui se parle à elle même mais c'était trop bon , là on peut pas dire qu'elle éprouve pas quelque chose pour lui , le contraire serait étonnant , de toute façon c'est elle , elle est pas fichue d'avouer ce qu'elle ressent mais Clark a visiblement le don de mettre les pieds dans le plat aussi vu comment il la taquine :P
Et je confirme , ils ne font que flirter , à croire qu'ils ne pensent qu'à ça :rolleyes: .
Désolée si je n'ai retenu que ça O:) , mais ils étaient adorables et maintenant ils vont vivre à côté , un peu plus et je pensais qu'elle allait lui demander de vivre chez elle ! Héhé ! mdrrr
Bon bah vivement la suite , j'adore toujours autant :D :D
lol, merci EricaClois pour ton com. Trés contente que tu ai apprécié les pensées de Lois.
SupprimerEt oui, il flirte, et je sens que ça ne va pas s'arréter trés trés vite <3
Surtout maintenant qu'ils vont etre voisins :p