jeudi 28 juillet 2011

Extrait de l'épisode S10E19 Dominion Pov Lois

Bonjour à tous....

Pour cette fois, j'ai décidé de faire les non-dit de l’épisode Dominion (10x19). J'ai trouvé encore frustrant de voir cette scène de Lois énervé contre Tess et prête à tout pour lui faire arrêter le compte à rebours... et la redécouvrir seulement 3 semaines après!!! C'est long 3 semaines...

Bon autant vous prévenir, meme si vous vous en doutez, ces 3 semaines ne sont pas les plus rigolotes... Lois semblait un peu désemparer quand nous l'avons retrouver dans la série, avec la chemise à carreaux de Clark et les yeux bouffi par les larmes et le manque de sommeil...

Je vous laisse découvrir se que moi j'en ai conclu...

Nous nous retrouvons donc, dans la Tête de Lois... à partir du moment ou elle pointe son arme contre Tess et pendant les 3 semaines en célibataire... mmmmh ça va etre la fiesta

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Extrait de l’épisode 19 de la saison 10

POV Lois



Je me sentais déterminer comme jamais. Je tenais une arme à feu entre mes mains pointé droit sur elle. Jamais je ne laisserais ça arrivé ! Jamais !

- Vous ne croyez pas si bien dire ! dis-je de ma voix la plus menaçante.
 
Je regardais Tess dont le visage changeait en même temps qu’elle se rendait compte que j’étais prête à tout. 

Comment pouvait-elle croire que j’allais accepter d’enlever ne serrai-e qu’une seule chance de faire revenir Clark.
 
- Lois, je ne veux pas plus que vous abandonner Clark ! Je vous assure. Mais nous avons une responsabilité. On ne peut pas risquer l’avenir du monde pour des raisons égoïstes. Et c’est se que vous faites en cherchant à revoir Clark à tout prix !
 
- Il n’est pas question, que je vous laisse le sacrifier. Répondis-je toujours aussi déterminé.
 
- Etre un héros, signifie faire des sacrifices. Plaidât-elle encore une fois. Mais elle avait tort.
 
- C’est là que vous vous trompez ! Etre la femme d’un héros, signifie ne jamais accepter la défaite !
 
Tess me regarda intensément, et je vis dans son regard qu’elle n’insistera pas davantage. Elle me tourna le dos, tout en gardant un œil sur moi qui n’avait pas l’intention de baisser mon arme tant que tout ne sera pas rétabli.
 
Tess tapota plusieurs minutes sur le clavier de l’ordinateur central. Je sentis mes muscles se détendre seulement au moment ou j’entendis « désactivation du compte à rebours »
 
- Voilà, j’ai désactivé le minuteur. Le portail restera intact. Me dit Tess toujours sur même ton.
 
Je baissais mon arme et senti comme un point tomber de mes épaules, j’avais envie de hurler et de pleurer. 
Mais je n’en ferai rien. A présent, c’était de la colère qui m’habiter. Comment avait-il pu me faire ça ! 
Comment avait-il pu prendre une telle décision sans m’en parler.
 
- Vous savez lois, Clark ne voulait pas que vous ayez à prendre une telle décision. Il voulait vous protéger.
 
- Je le sais ! répondis-je acerbe.
 
J’avais beau le savoir, le comprendre aussi en un sens, je n’arrivais pas à l’accepter. Et à présent, je n’avais qu’une seule envie, le voir revenir pour lui passer un sacré savon ! là, il allait m’entendre ! foi de Lois Lane.
Tess se remis à pianoté sur son ordinateur.
 
- Je n’arrive toujours pas à reprendre la communication. Ça va faire plusieurs heures qu’ils sont parti. Dit-elle inquiete.
 
Ma colère avait pris un instant le dessus sur mon inquiétude, mais le savoir encore dans cet enfer était insoutenable. Je regardais Tess s’affairait devant ses ordinateurs et je me sentais impuissante. Les personnes qui m’étaient les plus chers étaient là bas en train de risquer leur peau et je ne pouvais rien faire.
 
Je commençais à m’agitais et tourner en rond dans la pièce.
 
- Lois, vous me rendait nerveuse ! Allez posez cette arme et asseyez vous ! finit par me dire Tess.
 
- Je m’arrêterai qu’au moment ou ils seront en face de moi.
 
- Vous savez, ils peuvent encore en avoir pour plusieurs heures ! dit-elle amicalement.
 
Elle me fixa, compréhensive et ça me suffit à accepter sa requête.
 
Je remis l’arme dans son étui sous le bureau et m’assis dans le fauteuil. Je ne savais pas quoi faire à part attendre. Je me sentais frustrer ! Je continuais de fixer Tess qui s’acharner sans résultat sur son clavier. Les heures passaient, longues et angoissantes, et rien de changer. Toujours pas la moindre nouvelle de Clark et Oliver. La colère que j’avais ressentie plus tôt avait totalement disparu. Tout se que je souhaitais à présent était son retour. Quand je me rendis compte que l’heure du décompte fixé par Clark pour la fermeture définitive de la porte était passé, j’avais commencé à sentir une boule intense dans ma poitrine, et cette boule devenait de plus ne plus douloureuse. Comme un étau qui se serai… Et s’ils pensaient que se n’était plus la peine de revenir. S’ils pensaient qu’ils n’y avaient plus aucun moyen de rentrer ? S’ils ne pensaient même pas essayer de rentrer ? Non… Je devais me refuser de penser ça… ou de penser au pire. Clark ne renoncerai jamais à revenir vers moi. Jamais. J’avais entièrement confiance en lui… Mais lui avait pensé ne pas revenir ! Perdu dans mes pensées, les angoisses devenaient de plus en plus fortes. Et ce bruit continu qui résonnait dans le silence de la salle de contrôle. Ce son brouillé de l’écran de communication qui nous rappeler sans cesse qu’il n’y avait plus de moyen de les joindre. A force de fixer toujours le même point, je ne pu cette fois empêcher une larme de couler sur ma joue. Je l’essuyer rapidement, avant que Tess ne me surprenne. Je savais que Clark avait confiance en elle, mais je ne pouvais pas m’empêcher de lui en vouloir encore d’avoir osé penser à détruire cette porte ! Elle avait fini par s’assoir elle aussi, elle semblait exténuer.
 
- N’y a-t-il pas un autre moyen ? demandais-je plus pour briser le silence.
 
- Je n’ai plus d’idée pour le moment. Répondit-elle lasse.
 
Elle prit sa tête dans ses mains et se frotta le visage.
 
- Nous devrions peut-être mangé quelques choses. Finit-elle par annoncer.
 
- Je ne bouge pas d’ici ! lançais-je autoritaire.
 
Elle me fixa un instant, comprenant se que je sous-entendais.
 
- Lois, je vous assure que je ne ferai rien ! J’ai compris le message et je ne ferrai rien derrière votre dos. Clark est aussi quelqu’un de très important pour moi. La décision est prise, je ne changerai pas d’avis. Vous pouvez vous me faire confiance.
 
Je la regardais, toujours suspicieuse, mais fini par capituler. Si Clark avait confiance en elle, je devais moi aussi avoir essayé.
 
- Nous avons qu’à nous relayer. Je fais aller nous chercher quelques choses à manger, et vous, restez ici au cas où il y aurait du changement. J’ai reprogrammé la porte pour que l’ouverture ne puisse se faire que dans cette salle. Si des fantômes arrivent appuyer sur cette touche. Ca fermera toutes les ouvertures de la tour de contrôle et enverra un signal à l’équipe pour une intervention au plus rapide. M’expliqua Tess d’une voix professionnelle.
 
- D’accord. Dis-je serrant le petit boitier qu’elle m’avait tendu dans les mains. Et moi, que dois-je faire si la 
Tour est fermée ? finis-je par demander
 
- Prenez l’arme et priez pour qu’il ne vous arrive rien ! dit-elle toujours aussi froidement.
 
J’acquiesçais simplement. Tess pris son sac et se dirigeât vers la porte d’entrée. Mais avant de sortir, elle se retourna vers moi.
 
- Je suis désolée Lois, je sais que c’est dure pour vous. Mais je suis sur qu’ils vont revenir.
 
- Je sais, j’en suis sur moi aussi. Me pus-je m’empêcher de répondre.
 
Oui, j’étais certaine qu’ils reviendraient. De toute façon il m’était impossible de penser autre chose. C’était au dessus de mes forces. Tess hocha la tête et fini par sortir. C’était étrange de redécouvrir Tess de cette façon. Faisant réellement partie d’une épique ou elle savait qu’elle devait faire ses preuves. Finalement bien plus que moi, alors que j’étais la dernière arrivée.
 
Je retournais m’asseoir dans le fauteuil prés du bureau et me remis à fixé l’écran de contrôle qui n’afficher toujours aucun changement.
 
Apres que Tess soit revenue, nous nous étions installés pour manger. Les heures passaient est sans même m’en rendre compte j’avais fini par m’endormir dans le fauteuil. Tess était venu me réveillée et elle avait réussi à me convaincre de faire le guet chacune notre tour. Vers 3 heures du matin, c’était à son tour de dormir. Alors je veillais.
 
Ça faisait maintenant plus de 18 heures qu’ils étaient partis. C’était trop long. Jamais je n’avais ressenti une telle angoisse.
 
Ce n’était pourtant pas la première fois qu’il partait plusieurs heures d’affiler. Il lui était déjà arrivé de partir plusieurs jours, sans que je ne sache exactement ou il était. Mais si la plupart du temps il était rarement en danger, cette fois-ci je savais que c’était différent, et l’étau qui étouffait ma poitrine ne firent que me le confirmer. Il était en danger, vraiment en danger.
 
Et je ne pouvais rien faire.

Aux premières lueurs du jour, Tess s’éveilla toute seule. Moi je ne pouvais pas fermer les yeux. J’avais préparé du café, ranger se que je pouvais, trier des anciens dossiers, classer et archiver. Je ne supportais plus de regarder cet écran. Je ne pouvais plus. Je devais trouver des occupations pour m’empêcher de penser.

- Vous devriez rentrer chez vous Lois ! me dit-elle en guise de bonjour.

Je la regardais sans comprendre.

- Vous devez vous reposer. Nous devons toutes les deux nous reposer et ici n’a rien de très confortable pour ça.
 
- Je ne peux pas rentrer chez moi, j’ai besoin de savoir se qui se passe.
 
- Lois, il ne se passe rien pour le moment, et si j’ai la moindre information, je vous promets de vous tenir informer dans la seconde.
 
- Je ne sais pas, je ne me sens pas capable de rentrer pour le moment.
 
- Lois, reposez vous et revenez des que vous vous sentirez mieux, je prendrais le relai. Nous avons toutes les deux besoin de nous changer les idées. Surtout vous.
 
- Vous me prévenez, si jamais y’a le moindre changement ?
- Oui.
 
- Et vous m’envoyer Clark des son retour ?
- Vous pouvez compter sur moi. Dit-elle en acquiesçant.
 
- Ok, je rentre. Mais je peux être là très vite en cas de besoin.
- Lois…
 
- Oui, oui, j’y vais. Merci Tess.

Elle me sourit avant que je prenne le peu d’affaire que j’avais apporté et que je finisse par sortir de cette Tour de l’enfer.

Quand j’arrivais chez moi, je ne me sentais pas vraiment mieux. Nous venions à peine d’emménager avec Clark, et nous avions prévu une semaine de vacances pour tout ranger. Nous avions décidais de prendre notre temps. Entre le déménagement et le mariage, nous avions de quoi nous occuper. Enfin, si Clark ne faisait pas tout en super vitesse. Je souris en repensant à notre conversation de la veille, tout en ayant un pincement au cœur. Mes yeux se posèrent sur le cousin de White Snake qui était posé sur le canapé.

« Tu as gagné ! dit-il dans un sourire. Pour le meilleur et pour le pire le Heavy Metal fera partie de ma vie ! » Continua t-il en ce moquant de mon cousin.

Je me dirigeais sur le canapé, et pris le cousin entre mes bras en m’asseyant. Je le serai contre moi, espérant faire cesser cette douleur qui n’en finissait pas.

« Tout ce que je sais c’est que MON endroit parfait est ici avec toi.»

La douleur dans ma poitrine était lancinante et éreintante. Je ressentais les effets de ma nuit blanche, mais j’avais l’impression que mon angoisse pourrait continuer à me tenir éveillé. J’essayais de vider mon esprit de ses angoisses et je me blotti dans le canapé, sans cesser de serrer ce cousin. J’espérais, par ce geste, trouver du réconfort ou je le pouvais dans cet appartement encore vide de souvenir de nous. Je fermais les yeux et penser à ses bras fort autour de moi. A sa force bienveillante ou je me sentais tellement en sécurité, tellement en paix… Je crois que je ne réalisai même pas que je partais déjà dans un profond sommeil.

………….

Je sentais les lumières de la pièce traverser mes paupières closes. Je n’avais pas envie de sortir de mon rêve. Je me recroquevillais sur le canapé tout en serrant plus fort l’oreiller que je tenais entre mes bras. La lumière semblait plus intense que jamais, je voulais me retourner pour l’empêcher de m’éblouir quand je me sentis tomber. Je n’eu pas le temps de toucher le sol que deux bras puissant me rattrapèrent et un rire que je connaissais que trop bien résonnât dans le silence de la pièce. J’ouvris les yeux instantanément. Clark était devant moi, accroupi à mes cotés, me tenant dans ses bras. Il me reposa sur le canapé et s’assis à mes pieds.
 
- Tu as dormi ici ? me demanda-il tout en souriant.
 
- Clark ! tu n’as rien. M’écriais-je en lui sautant au cou.
 
- Je suis presque qu’indestructible. Me répondit-il de bonne humeur.
 
- Tu m’as fait une telle peur !
 
- Tu sais bien que je reviendrais toujours vers toi Lois. Me dit-il dans un murmure tout en se penchant dans mon cou.
 
Son baiser me fit perdre pied.
 
- Mmmmh, tu n’as pas répondu à ma question. Tu as dormi ici ? me redemanda t-il ? tout en restant dans mon cou.
 
Mon cœur s’était mis à battre comme lors que je faisais mon jogging.
 
- Oui… non… répondis-je distraite… enfin…. Je ne suis rentrée que ce matin…. J’ai veillé avec Tess à la Tour de Guet.
 
Il se recula rapidement, et je ressenti une nouvelle fois ce vide qui avait enfin cessé depuis l’instant ou Clark me toucher.
 
- Pourquoi ? me demanda –t-il étonné.
 
- Continue. Quémandais-je tout en fermant les yeux et en l’attirant à moi.
 
Il retrouva rapidement sa place dans mon cou et ça me convenait parfaitement. J’avais passé la journée la plus angoissante de ma vie, maintenant j’avais besoin de me détendre et de retrouver un moment de paix.
 
- Alors pourquoi ? redemanda t-il sans arrêter se qu’il était en train de faire avec ses lèvres.
 
- Tu avais disparu je te signal. Pendant plus de 24 heures, j’étais inquiète.
 
- Tu n’as pas à t’inquiéter, je serai toujours à toi.
 
Il termina sa phrase sur mes lèvres et à ce moment là, je n’avais plus la force de répliquer. « Tu m’as manqué aussi » chuchota t-il. Mon cœur fit un bon dans ma poitrine, et réveilla toutes les terminaisons nerveuses de mon corps. Son baiser se fit plus intense et je le senti rapidement me rejoindre sur le canapé. Son corps au dessus du mien, toujours aussi attentif à ses mouvements et toujours aussi doux dans ses caresses. Il quémanda l’accès à ma langue si sensuellement que je ne résistais pas une seule seconde. Mes mains avaient trouvé seules le chemin de son dos et je caressais ses muscles dorsaux sous son tee shirt sans même me rendre compte de se que je faisais. Sa peau lise et douce irradier comme la mienne de ce désir commun. J’aimais le voir se fondre en moi avec tant d’abandon. J’aimais le voir si relâcher et confiant. Le voir tellement lui. Quand nous faisions l’amour, il n’y avait rien de plus fort et de plus beau.
 

- Je t’aime Clark…

Le coup que je senti fut si vif que j’eu du mal à réaliser. Je m’étais retrouvé sur le sol du salon, au bord du canapé. « Qu’est se…. ? » Encore étourdi par ma chute, je portais une main sur mon front rempli de sueur et regarder mon portable. Il était déjà 14 heures. Il n’y avait aucun message sur mon répondeur et j’étais seule dans notre appartement. Complètement seule. C’était seulement un rêve. Je remontais sur le canapé et je sentis mes larmes coulées plus fort encore.

- Reviens Clark, je t’en prie, reviens.

 
Mon cerveau répétait ces mots en boucle, encore et encore, mais il ne restait que des prières sans réponse. Il était loin, sans moi… et nous étions toujours sans nouvelle.

Depuis ce rêve, je ne pouvais pas m’empêcher d’avoir continuellement la sensation qu’il allait réapparaitre d’une seconde à l’autre, mais il n’y avait toujours aucun signe d’eux. Les jours passaient plus horribles les un que les autre et les nuits qui suivaient étaient encore pires.

Avec Tess, nous nous relayons tous les jours à la Tour de Contrôle. Chloé appelait quasiment toutes les heures, au début, puis, elle avait fini par faire comme nous. Attendre un signe, un signe qui n’arrivais pas. J’avais du insister avec Tess pour ne pas la faire venir à la tour de Guet, que ça ne servirait à rien. Qu’il n’y avait qu’à attendre.

Martha demandait, elle aussi sans cesse des nouvelles. Mais elle avait fini par n’appeler que Tess quand elle s’était rendu compte que prononcer des mots aussi simple que « Non, toujours pas de nouvelles d’eux » était trop douloureux.

Quand Tess et John Jones avaient pris la décision de ne pas envoyer un autre membre de la ligue à leur recherche, j’eu l’impression que mes défenses pour maintenir une apparence forte s’effriter de plus en plus.

J’avais eu beau insister, leur décision était sans appel. Et je devais le reconnaitre, ils n’avaient pas vraiment tort. Sans Clark, il n’y avait aucun moyen de revenir de la zone fantôme. Comment pouvais-t-il envoyé une autre personne dans cet endroit. Mais j’avais beau me répéter ses mots, essayé de me convaincre, que c’était normal. Je ne pouvais pas m’empêcher également d’être en colère contre cette décision et contre l’équipe entière. Clark les avait déjà quasiment tous sauver les uns comme les autres plus d’une fois, et aujourd’hui, c’était lui qui avait besoin de nous.

« Si personne n’a le courage d’y aller, moi je suis prête ! » Avais-je fini par dire, totalement inconsciente. « Envoyez-moi là bas » avais-je supplié. « Je ne peu plus rester ici sans rien faire. Je connais cet endroit. J’y suis déjà allée et survécu. Laisser moi aller les chercher. »

Evidement, personne n’accepta. Tout se que je récoltais fut des menaces d’exclusion de la Tour de Guet si je ne maitrisais pas plus mes émotions. Je découvrais même ce jour, les véritables pouvoirs de John Jones, quand je l’entendis me parler dans ma tête et essayer de me calmer et de me rassurer. Ce fut, une sensation étrange, mais il réussi à me faire entendre raison.

Quand Dinah demanda s’il n’était pas plus opportun, vu la menace probable, de détruire simplement le portail de la zone fantôme, je fus rassurer de constater qu’aussi bien John Jones et Tess n’étais pas du tout d’accord. Tess avait compris que je ne laisserai certainement pas ça arrivé et John en était tout autant convaincu. Ils ne voulaient pas prendre le risque de leur enlever toute chance de retour.

A la maison, je passais mon temps à ranger, installer et bricoler. J’avais terminé l’appartement quasiment à la fin de la première semaine de leur disparition. La seconde je l’avais passé en partie au Daily-Planet, mais je n’arrivais pas à écrire le moindre article, tant m’impliquer dans une affaire était au dessus de mes forces.

Je pensais sans arrête à lui. Peut-être parce que je savais ou il était, je connaissais le monde dans lequel il avait échoué, et je savais que là bas, il était aussi vulnérable qu’un humain. Cet endroit, mort, était un véritable enfer, ou le danger était menaçant à tout moment. Et ça me rendait folle.

Deux semaines sans lui et je n’étais plus que l’ombre de moi-même. A la maison, j’avais fini par trouver refuge dans un fauteuil que j’avais placé devant la fenêtre du salon. Je ne savais pas vraiment l’expliquer mais il n’y avait que là que je me sentais plus ou moins à l’aise. Je restais assise des heures dans une de ses horribles chemises à carreaux que j’avais déballés de ses cartons, mon cousin des WhiteSnake blotti contre moi, et je fixais l’oiseau bleu de ma mère. En regardant cet oiseau, j’espérais toujours qu’il allait réapparaitre d’un coup devant moi, comme il le faisait si souvent. C’était complètement idiot je le savais mais à ce moment-là, je n’avais aucun autre besoin, aucune autre envie. Je mangeais à peine et j’avais conscience que je devais ressembler à une folle à force de ne pas réussir à dormir.

J’écoutais des chansons plus déchirantes les unes que les autres, pensant qu’elles suffiraient à dissiper ma peine ou tout du moins à l’apaiser. Mais rien n’y faisait. C’était pathétique voire même cliché et j’avais toujours été la première à me moquer de ces héroïnes de films qui se meurent d’amour en écoutant ce genre de musique mais une chose était sûre à présent, plus jamais je ne les critiquerais. J’avais trop mal pour ça.

A la tour de Contrôle, je passais des heures perdues dans leurs archives cherchant un moyen, une info quelconque qui nous aurais tous échappé. Mais tout se que j’apprenais était tous ses actes héroïques que Clark et la ligue avaient fait. Je compensais mon manque de lui par l’information inédite que je découvrais. Mais rien ne pouvait combler l’absence que je ressentais.

La troisième semaine, ne pas perdre pied devenait de plus en plus difficile. L’espoir de le revoir s’amenuiser goute à goute au fur et à mesure que le temps passé. Quand j’étais seule à l’appartement, je m’effondrais. Alors je voulais y rester le moins possible. Un matin, assez tôt, j’avais reçu une visite inattendue. Quand j’avais entendu la sonnerie de notre porte d’entrée, mon cœur s’était mis à battre espérant encore… mais je me repris vite, me disant que jamais Clark n’aurai sonné à la porte de chez lui. Avant d’ouvrir la porte, je regardai par le judas et me figeai littéralement lorsque je reconnus la personne derrière la porte. Une personne que je ne m’attendais absolument pas à voir ici. Mon cœur se mit à battre plus vite et je dus prendre une grande inspiration pour me calmer. Nerveusement, j’inspirai un grand coup et ouvris la porte avec inquiétude.
 
- Martha ?
 
- Bonjour Lois, me dit-elle en s’approchant de moi et en me prenant dans ses bras. J’espère que je ne te dérange pas.
 
- Non, non pas du tout ! répondis-je rapidement et elle me sourit tendrement.
 
- Est se que vous avez eu des nouvelles de Tess ? Demandais-je rapidement.
 
- euh, non… non non, répondit-elle. Toujours aucune nouvelle.

Je soufflais de soulagement. En la voyant par le hublot, je m’étais mise à imaginer d’autres types de nouvelles, que seule Martha pourrait me rapporter. Et surtout, que je ne supporterai pas d’entendre. Je restais sur le pas de la porte, attendant de savoir pourquoi Martha s’était déplacer de Washington à Métropolis, alors que son travail de sénateur lui prenait quasiment toute son énergie et son temps.

- Hum, est-ce que je peux entrer ? demanda-t-elle avec son sourir bienveillant en désignant l’appartement d’un signe de tête.
 
- Oh ! Oui bien sûr, excusez-moi Martha, je vous en prie, entrez. Balbutiai-je en m’écartant pour la laisser entrer.

Débile profonde ! m’insurgeai-je contre moi-même.

Elle pénétra dans notre appartement et je refermai doucement la porte derrière elle.

- C’est très jolie Lois, Vous avez bien aménagé cet endroit. J’aime beaucoup. me complimenta-t-elle en se tournant vers moi.
 
- Oh c’est… ce n’est pas fini, avec Clark nous n’avons pas vraiment eu le temps de… Enfin… je veux dire... Je ravalais mes derniers mots, la boule qui venait de se former dans ma gorge m’empêchant d’en dire davantage.

Martha continuait de regarder autour d’elle, et quand elle vit une photo de Clark et moi, je vis son visage se fissurer de tristesse. Je croisai les bras sur ma poitrine pour me donner un semblant de contenance et surtout du courage.

« Hum… Martha, est-ce que ça va ? » Demandai-je maladroitement.

Elle se redressa et son sourire s’estompa jusqu’à ne devenir qu’une expression de prévenance.

« Oui, rien de nouveau, répondit-elle. Mais j’avais envie de discuter un peu avec toi et aussi de savoir si… Enfin, je me demandais se que tu comptais faire pour le mariage…»
 
- Quoi le mariage ? répondis-je plus agressive.

J’avais conscience que le mariage approchait. Chloé m’avait déjà posait la question et j’avais était très clair. Je ne changerais certainement pas la date. Impossible. Clark serait là à temps. Me repétais-je constamment.

- Chloé m’a dit que tu ne voulais rien entendre. Mais Lois, Chérie, nous savons toutes les deux qu’il va revenir. J’en suis autant persuadé que toi. Mais peut être qu’il serrait plus prudent de le reporter. C’est dans à peine trois jours.

- Non, je suis désolée Martha, mais je ne changerais pas d’avis sur ce point. Je maintiens la date, et Clark sera là. Je l’attendrais devant l’autel s’il le faut.

Elle secoua doucement la tête, essayant de trouver les mots qui je l’espérais, permettraient à mon cœur de rester en un seul morceau. Mais au bout d’un moment, elle abandonna et ferma les yeux en se passant une main sur le visage.

- Oh mon Dieu, soupira-t-elle avec détresse alors que ses yeux s’embuaient de larmes. C’est tellement difficile. Je suis désolée, j’essaie d’être forte là-bas mais ce n’est pas toujours évident.

J’étais paralysée, incapable de bouger ou de dire quoi que ce soit. Martha était toujours tellement forte. Elle avait déjà traversé tant d’épreuves et jamais je ne l’avais vu faillir. Mais en ce moment, elle traverser la même chose que moi, elle était aussi inquiète que moi pour son fils, et je me devais d’être présente pour la soutenir.

Elle ne put pas finir sa phrase tant elle était bouleversée et je m’approchai pour prendre ses mains tremblantes entre les miennes, pour tenter de l’apaiser. Elle s’immobilisa, laissant les larmes couler sur son visage en regardant nos mains jointes.

- Martha, je vous en pris, regardez moi ! demandais-je

Elle leva la tête vers moi et l’expression de son visage me bouleversa, tant et si bien que j’eus du mal à ne pas pleurer devant le spectacle.

- Il va revenir, croyais moi. J’en suis persuadée. Il ne peut pas en être autrement. Ce mariage aura lieu Martha. Je connais Clark. Il reviendra. dis-je avec assurance. J’ai confiance.

Elle éclata en sanglots et serra mes mains avec reconnaissance comme si tout à coup elles étaient devenues la seule chose l’empêchant de sombrer dans notre cauchemar commun.

J’essayai de lui sourire à travers mes larmes mais c’était la chose la plus difficile à faire. Cet aperçu de ma vie sans Clark, sans sa présence n’était pas quelque chose que je pouvais supporter. C’était tout bonnement… intolérable. Je refusais cette éventualité.

Nous étions restées ainsi pendant plusieurs minutes, sans rien dire mais le silence avait une vertu efficace en ce moment puisqu’il nous permettait de nous épancher.

Apres ça, elle était restée un moment dans notre appartement, je lui avais servi un café et nous nous étions mises à discuter. Elle me racontait de nombreux souvenirs d’enfance de Clark. C’était étrange de la voir ainsi. Elle me parlait de Jonathan, de son fils. Et je me rendis compte à quelle point ils étaient tout pour elle. Elle avait déjà perdu Jonathan, perdre son fils unique, celui qu’elle avait tant attendu, tant désirais, c’était tout simplement impossible.

- Tu sais Lois, c’est agréable d’avoir quelqu’un avec qui je peux parler de mon fils sans détour. Je suis tellement contente que vous soyez ensemble maintenant. Depuis la mort de Jonathan, j’ai eu tellement peur que Clark cesse d’accepter d’aimer et ainsi d’être aimé en retour. Mais avec toi, c’est différent. Tu as réussi à toucher son cœur, tout en le rendant encore plus fort.

Ces mots me touchèrent infiniment. Martha était comme une mère pour moi. J’avais perdu la mienne depuis si longtemps. Et elle était comme j’imaginais ma mère. Si douce et compréhensive, si attentive et tendre. Elle me sourit tendrement et je le lui rendis. Puis, elle m’étreignit rapidement avant de quitter notre appartement en séchant ses larmes. Je restai immobile un moment, écoutant ses pas s’éloigner dans les escaliers. La voir m’avait apaisait. Je me sentais moins seule dans ma détresse. Martha la partager autant que moi. Mon cœur était toujours en miette, mais l’espoir revenait. Personne ne pouvait laisser une femme comme Martha Kent vivre un moment aussi douloureux que celui de perdre son fils unique. Je me dirigeais vers la fenêtre, et regarder l’oiseau bleu, Clark reviendrai, et si je devais l’attendre sur l’autel, je l’attendrais.

Le lendemain, les premières lueurs du jour m’avaient rapidement réveillé. J’avais passé une nuit horrible, imaginant Clark blessé et agonissant dans ce lieu d’enfer. Me lever était de plus en plus intolérable et j’avais l’impression de passer mon temps à devoir me surpasser.

Mon heure de garde à la Tour de contrôle approchait. Je devais remplacer Tess afin qu’elle puisse elle aussi se reposer. Je me préparais un café afin de m’aider à me réveiller.
 
Je me dirigeais dans le salon, afin de finir de préparer mes affaires pour partir, quand mon œil fut attiré par une silhouette.
 
Et c’est là que je le découvris.
 
Mon cœur se mit à tambouriner, tant dis que mes yeux encore douloureux à force de ne pas dormir se fixèrent aux siens.
 
« Pouvais-je y croire ? »
 
Ces yeux si bleus me regardaient avec étonnement. Il avait l’air inquiet. C’était bien lui, je ne rêvais pas.
 
Je sentis mes jambes me portaient jusqu'à lui, sans même que je les commande.
 

- Clark !
 
Je me précipitais à son cou et je sentis ses bras entourer ma taille et me serrer tout contre lui. Mon cœur battait tellement que j’avais l’impression de revivre après des jours d’agonie.
 
- Je savais que tu reviendrais. Dis-je me collant encore plus à lui.
 
- Je te l’avais bien dit. Répondit-il tout en me berçant dans ses bras. Nous restions ainsi plusieurs secondes qui m’apaisèrent.
 
- Qu’est-il arrivé à ton « prendre du temps de fusionner notre vie ensemble ». Continua t-il tout en se dégageant pour me montrer l’appartement. « Trouver le bon endroit pour chaque chose »…
 
Je le voyais découvrir cet appartement qu’il avait quitté 3 semaines plus tôt avec tous ses cartons. C’était étrange après tout ce temps, qu’il me parle comme si nous nous étions à peine quitter. C’était presque rassurant. Comme ci rien n’avait changé.
 
- Oh et bien, tu me connais, tu sais que l’attente ce n’est pas vraiment mon fort. Comme quoi l’énergie nerveuse ça donne une puissance de déballage phénoménale.
 
- Mais comment tu as fait ? Tu as enrôlé John Jones et Bart ? C’est pas possible que tu es tout…
 
Je le regardais sourire, sans vraiment comprendre se qu’il sous entendais exactement. Quand son visage changea d’expression, je compris moi aussi à cet instant qu’il y avait eu quelque chose d’anormale.
 
- Combien de temps sommes nous parti ? me demanda t-il finalement.
 
- Trois semaines. Répondis-je une boule douloureuse dans la gorge venait de se former, quand je repensais à ses trois dernières semaines d’enfer que j’espérais ne plus jamais revivre.
 
Je sentis mon cœur se serrer au moment ou ses yeux s’éclaircir de compréhension.
 
- Pour nous, ça ne faisait que quelques heures. Dit-il en se rapprochant de moi.
 
Le Crystal… le faire exploser à du déformer l’espace temps. Du coup, quelques heures pour nous, à représenter presque qu’un mois pour toi.
 
Je hochais simplement la tête, devant son visage qui petit à petit assimiler la détresse dans laquelle j’avais vécu.
 
- Tu as patienté tout ce temps ? demanda t-il avec bienveillance.
 
- D’après la ligue, c’était risqué d’envoyer d’autre personne vous récupérer. Tess et moi on s’est relayé à la tour de contrôle. Nous avons campé pendant des jours. Nous avons essayé de rétablir le contact avec Oliver et toi.
 
Clark semblait toucher par mes mots. Ses yeux reflétaient la détresse et l’inquiétude que j’évoquais et que j’avais vécue.
 
- J’ai pris mon cousin avec moi pour me réconforter parce qu’il me fait penser à toi maintenant. C’est drôle, hein ? dis-je essayant d’adoucir la situation. Je n’avais plus envie de pleurer, pourtant je me sentais encore si fragile.
 
Clark sembla réfléchir un instant avant de reprendre la parole.
 
- Apres trois heures, Tess était sensé…
 
- …Faire exploser le portail, le coupais-je. Oui, je sais. Tess et moi avons eu un petit cœur à cœur inattendu au sujet du plan secret que tu avais prévu. Je l’ai amené à voir les choses à ma façon. Dis-je repensant à notre tête à tête musclé afin de la dissuader de faire exploser cette porte.
 
J’avalais cette boule qui m’obstruer la gorge et continuer.
- Tu sais… j’aurai souhaité que tu es un peu plus de foi en moi aussi.

- Lois, c’est n’est pas… Je ne voulais pas que tu aies à faire ce genre de choix. J’essayais seulement de…
 
- … Tu voulais me protéger. J’en suis consciente. Mais tu fais partie de moi maintenant Clark. Tu es ma moitié. Alors à l’avenir, si ce genre de chose arrive. Si une mission réclame toi, ma tendre moitié. Je veux que tu m’emmènes. Parce que je préfère affronter un purgatoire sablé avec toi, plutôt que de revivre cet enfer ou j’étais là à me demander si je te reverrai…
 
- Lois… Je suis vraiment désolé. Me dit-il en caressant ma joue tendrement d’une main, tandis que l’autre se poser sur ma hanche afin de me rapprocher de lui.
 
J’essais de faire les bons choix avec mon coté humain, mais parfois je me laisse submerger par mon coté Krytopnien. J’essaie de contrôler la situation. Au lieu de te cacher ce coté, je devrais essayer de t’aider à le comprendre.
 
- Promet moi de le mentionner dans tes vœux de mariage. Dis-je soulagée qu’il comprenne se que j’ai pu ressentir.
 
Il me sourit tendrement, répondant à ma volonté d’apaiser un peu la situation. Quand il percuta.
 
- Attend, le mariage ?
 
Je hochais la tête.
 
- Oui, la cérémonie est dans deux jours Smallville.
 
- Tu n’as pas repoussé la date ? me demanda t-il surprit.
 
- Non.
 
Je m’approchais de lui et pris son visage en coupe entre mes mains délicatement. Je voulais le maintenir tout prés de moi, ne plus qu’il s’échappe. Je caressais ses joues et encrais mon regard dans le sien.
 
- Je ne pouvais pas, c’était trop dur. J’avais gardé l’espoir de te revoir en vie. C’est la seule chose qui m’a aidé à tenir. Mais si tu préfères qu’on repousse, ça me va…
 
Il me fit un petit sourire en coin, et je le trouvais à ce moment précis encore plus craquant.
 
- Lois… m’interrompit-il en prenant mon visage tendrement dans sa main. Il me fixa intensément, en me souriant. Rien sur cette Terre ne pourra m’empêcher de marcher vers l’autel.
 
J’eu l’impression que mon cœur exploser à cet instant. Je me blottis dans ses bras, et senti les siens se refermer sur moi. Les émotions étaient tellement fortes à ce moment, que j’avais la sensation qu’elles allaient déborder. Il était là, il était enfin revenu, et plus rien ne me l’enlèverai… Ses bras puissant me serrer tout contre lui, et je sentis mes muscles se détendre un à un. Le cauchemar était fini. Il était rentré, sain et sauf… Je jetais un coup d’œil à la fenêtre, j’avais cette sensation en regardant cet oiseau, que ma mère me disait « il faut toujours garder espoir » que c’était ça façon à elle de me dire qu’elle veillait sur nous... Elle m’avait aidé à tenir, et à retrouver mon avenir entre mes bras.

Fin de cet extrait…

mardi 31 mai 2011

Ou est Superman??

Voila des années que nous ne l'avons pas vu? Superman est-il toujours vivant? 15 ans qu'il ne s'est plus montré aux yeux du monde. Biensur, il n'a pas laissé le monde seul. En presque un siècle d'activité acharné, Superman a modelé un nouveau monde. Un monde ou la vérité et la justice sont protégées par de nombreux héros façonnés à l'image de Superman.

Le Monde d'aujourd'hui est protégé, mais Superman nous a t-il abandonné??

Pendant les semaines à venir, nous allons mené l’enquête et découvrir ensemble se qu'il est devenu. Nous découvrirons ses secrets et son passé.

Suivez nous dans ce numéro du Daily Planet Spécial Superman... pour découvrir enfin se qu'est devenu le plus grand de tous les héros.

Ma prochaine fanfiction qui s'intitulera "Toute une vie à sauver" arrive bientôt

J'espère vous retrouver nombreux sur mon nouveau projet

à bientot

çaane