jeudi 14 février 2013

Beacon of Hope Article 20

Quoi de mieux pour fêter la saint Valentin que de retrouver un peu de clois... voici leur retrouvailles... ou pas !

Joyeuse saint-Valentin 

ou pour les rabat-joie célibataire qui déprime dans leur coin ou qui passe la soirée avec maman... bah Bonne soirée :P (private joke)





On va revenir un peu en arrière... et je vous laisse découvrir la scène du point de vue de Lois ;)


Pov lois.

Les jours suivants la convention de Wayne furent aussi captivants que ceux d'avant, pourquoi ne trouvais-je pas de bonne première page à me mettre sous la dent ! Je me concentrais devant les coupures de journaux et je lisais en diagonal tous les papiers que j’avais accumulé espérant trouver quelques choses. 

 « La Luthorcorps vend son usine pharmaceutique au nord de Metropolis pour ouvrir un plus grand centre dans le sud de la ville : objectif à la création de 1000 emplois supplémentaires »

« La Luthorcorps investis des millions dans la recherche spatiale ! »
 ça a toujours était son truc les OVNIS, commentais-je.

Il y avait de nombreuses coïncidences, sans liens apparents. Arrg !! Toujours ce cul de sac en ce moment !! J’enrageais !! Avais-je perdu mon instinct ?

Jimmy avait découvert une photo de Luthor, avec ce Jim Para, l’homme que j’avais suivi dans l’entrepôt. Il avait découvert son nom, et ça nous avait permis de savoir qu’il n’était qu’un petit malfrat de rue, sans grande envergure, le genre Bruno Manheim… Que faisait-il au côté de Lex Luthor.

« Lex Luthor investi des millions dans la sécurité des rues de Metropolis : Le Maire s’interroge sur ses motivations, souhait-il briquer un mandat politique aux prochaines élections ? » 

« Le Maire offre les clés de la ville à Lex Luthor : il est le premier employeur de la cité » 

Sur la photo qui illustré l’article, on voyait Luthor souriant et heureux. Il savait jouer les bons samaritains. C'était petite fille lui avait tendu le coussin avec la clé d’or et voilà qui l’avait prise dans ses bras pour poser sur la photo. Cette image était digne d’une campagne politique avec en titre « Luthor, le grand philanthrope de Métropolis. » Ça n’était pas la première fois qu’il recevait les honneurs de la ville pour son dévouement et sa fortune. Mais que faisait-il maintenant, il créait, sa propre police privé « Luthor Sécurité ». Il fallait reconnaitre qu’il n’hésitait pas à y mettre les moyens, mais je n’avais décidément pas confiance. Le Maire craignait pour son mandat, moi il me donnait des frissons dans le dos.

Une nouvelle police, pourtant, un quartier restait en retrait…  le nord de Métropolis était en proie à la montée en puissance de petits gangs dans les endroits les plus pauvres de la ville. Peut-être que Luthor, en bon samaritain, devrait s’intéresser à sécuriser ces quartiers-là. C’est comme s’il y avait deux villes dans la ville. Celle protéger, et celle de plus en plus difficile. Si c’était un mandat politique qu’il voulait, il devrait sans doute y trouver un électorat intéressant.

Je relisais mon article non publié. « Découverte d’un entrepôt secret plein d’OVNIS ». Se pourrait-il que ce soit lié à Luthor ? Surement, mais « je veux des faits, Lois !!! Sans fait, aucune publication ne sera autorisée !! Revenez quand vous aurez du concret, sinon sortez de mon bureau et allez bosser !! » J’entendais, sans même le voir, la voix de Perry White rabâcher sans cesse la même rengaine !

- Lois, je veux que vous alliez à la conférence de presse donné par le maire, et trouvez-moi un bon scoop bon sang !

- D’accord Perry, j’y cours, disais-je à contrecœur. Bref, rien de bien intéressant, pas de scandales bien véreux à me mettre sous la dent.

La conférence avait duré une bonne heure, et une autre pour les réjouissances histoire de se mettre tous les grattes papier de Métropolis dans la poche. Mais on m’achèterait surement plus facilement avec un pack de six qu’avec du champagne et des bouchés de fois gras/chocolat… breuk ; Et tout ça, au frais du contribuable ?

J’étais contente de revenir au bureau, j’allais vite fait écrire cet article et me remettre à mes réflexions. Je ne trouvais pas le point d’entrée pour le moment, mais je devais creuser.

A peine, les portes de l’ascenseur s’ouvrait que Jimmy me sauta dessus.

- Ah Lois, je suis content de te voir.

- Pourquoi ?

- Perry veut te voir immédiatement.

- Encore ? je viens à peine de rentrer.

- Il m’a dit, « des que Lois arrive, vous me l’envoyer. » dit-il en imitant la grosse voix de Perry de façon pas très habile.  Alors je te préviens, mais tu vas pas être contente... Il y a un nouveau dans le journal, il a l'air cool d’ailleurs, mais il semblerait que Perry veuille que tu le prennes sous ton aile.  Me dit-il sur le ton de la confidence.

- Quoi ??!! C’est quoi cette histoire ?? Un équipier ? Et un nouveau en plus ?? Hors de question, je n’ai pas le temps de jouer les nounous !

Sans même poser mes affaires, je me précipitais et entrais dans le bureau de Perry avec fracas, sans m’annoncer.

Il se leva immédiatement.

- Lois que…

- C’est hors de question que je fasse équipe avec un nouveau. Dis-je tout de tact

- Puis-je savoir depuis quand vous donnez les ordres ici ? répondit-il avec colère.

- Jimmy vient de me dire que vous envisagiez de me rendre responsable de quelqu’un.

- Alors de un, Jimmy c’est trompé.

- Vraiment ? Répondis-je soulagé. Il ne perdait rien pour attendre celui-là !

- Oui, je ne veux certainement pas vous rendre responsable de quelqu’un, je veux que vous fassiez équipe, et de deux, il se mêle de ce qui ne le regarde pas. Il va falloir qu’il apprenne à tenir sa langue celui-là !

- Equipe ?

- Oui, un partenariat.

- Mais enfin Perry, je ne suis pas faite pour travailler en équipe.

- C’est encore moi qui décide ici de ce que je souhaite ou non pour ce journal ! dit-il avec colère, mais il se radouci rapidement. En ce moment, vous n’avez pas l’air très en forme, un partenaire vous reboostera un peu.

- Perry, je vous assure que ça n’a rien à voir. Je ne suis pas faite pour travailler avec quelqu’un.

- ça vous avez plutôt bien réussi en Afrique. C’est d’ailleurs le dernier scoop que vous m’avez sorti. dit-il, ses épais sourcils se soulevant !

"Touché Lois!"

- C’était différent, la personne avec qui j’ai travaillé est quelqu’un d’intelligent, et qui s’est parfaitement adapté à ma personnalité. Je ne suis pas du genre à m’adapter, moi ! râlais-je encore plus.

- Très bien, ça tombe bien, car il est de ce genre,  vous allez…

- Je ne suis pas prête à partager quoique ce soit avec quelqu’un. Perry, dis-je plus fort pour être sûr qu’il me comprenne.

- Je suis désolé, va falloir vous y faire Lois. Et ne soyez pas si pessimiste, c’est peut-être le début d’une grande et nouvelle aventure pour vous.

- Une aventure ? Perry, je suis une femme indépendante, je travaille seule et ça me plait.

- Je suis sûr que ce nouveau partenaire vous plaira Lois. Dit-il sur de lui et confiant.

- Perry, Je vous en prie, le partenariat, c’est comme un mariage.

- C’est exact, et c’est ça qui est génial. Répondit-il enthousiaste

- Ça demande de la patience, de la compréhension et surtout des trésors de bonne volonté. C’est-à-dire, tout ce que je ne suis pas ! Avouais-je sans complexe.

- Je sais mon chou, courage ! Maintenant, laissez-moi vous présentez votre moitié.

A ce moment, j’entendis quelqu’un se racler la gorge. Je me retournais, rétissante comme jamais. Je bouillais de frustration, jusqu’à ce que je croise son regard...

Je pense que ma première pensée en le voyant dans l'entre bâillement de la porte fut "pincez moi, je rêve?" Pas que j'avais souvent rêvé de lui depuis mon départ... Qu'est-ce que je raconte, j'avais presque du mal à ne pas penser à lui. Evidement que j'avais rêvé de lui. Arrg !

La seconde pensée fut "qu'est-ce qu’il faisait là ? Je crois que j’avais déjà oublié qu’on était en train de me présenter mon nouveau partenaire.

La troisième... Et bien… Je n’en avais pas la moindre idée... Tout ce que je ressentais maintenant c'était son odeur envoûtante qui m'avait déjà bercé il n’y avait pas si longtemps pendant une nuit fraiche en Afrique…

- Euh, salut Lois. Dit-il d'une voix douce. Je suis moi aussi très content de te voir.

Cette dernière phrase me ramena brusquement à la réalité. Que...

"Oups" sans même m'en rendre compte mes jambes m'avaient porté jusque dans ses bras.

J'espérais ne pas rougir, mais quand je croisais ses yeux bleus magnifiques et son sourire en coin, je craquais encore une fois et me senti partir très très loin et je ne sais ou…

Le raclement de Perry White me sortit pour te bon de ce moment, que malgré moi j'avais trouvé délicieux. C'est pas vrai... alors j'avais vraiment passé mon temps à fantasmer sur lui !

- J'espère ne pas avoir eu tort de vous mettre ensemble ! Nous ne sommes pas ici pour se faire des mamours mais pour bosser. C’est d’un partenariat professionnel dont je parle.

Si j'avais réussi à maintenir le rouge de mes joues jusqu'à présent... Là, je doutais que se fut le cas pour cette fois, surtout que "il faisait très chaud ici tout d'un coup! Non?" pensais-je en secouant une feuille devant moi pour me faire de l’air.

- Euh, Pas du tout Perry, ça alors, Clark, c'est donc toi mon nouveau partenaire !

- Oui, j'espère que tu n'es pas trop déçu. Dit-il comme s'il se moquait.

Alors là ! Tu ne vas pas t’en sortir comme ça Boyscoot !

- C'était un stage que je t'avais proposé pas un emploi! Répondis-je en lui faisant un clin d'œil. Il est chou quand il sourit.

- Je suis content que ce partenariat vous agrée Lois. Mais maintenant que vous êtes là tous les deux, laissez-moi un peu vous expliquer ma vision de votre « couple » ! Lois, vous avez l'expérience du terrain, je veux que vous lui montriez tout ce que vous savez ici, vos sources, vos sujets d'articles... Tout !

Je ne vais quand même pas tout lui donner.

- Quoi? Dis-je malgré moi. Hors de question que je partage ! Il avait beau avoir un sourire de tombeur, ce n’était pas une raison.  "Perry, se sont mes sources que j'ai mis des années à établir, pourquoi je devrais tout lui filer."

- Lois! Mettez-y un peu du votre. J'ai étudiez la carrière de notre ami ici présent, et je suis sûr que vous ferez un couple magnifique sur le papier. Mais quand je parle de "couple" c'est exactement ce que ça veut dire... Va falloir apprendre à partager. Vous verrez, ça vous fera du bien !

- Que... Comment osait-il.

- Clark, d’après ce que j’ai lu, vous avez un coup de crayon vif et pertinent, qui prend réellement les gens aux trips quand vous écrivez. Prenez-en de la graine Lois. Dit-il en me regardant. Et peut-être que vous allez enfin finir de mettre des double lettre à tous vos mots ! Clark, vous n’avez jamais travaillé avec le stress des délais, et vous avez toujours eu le temps de pofiner vos articles… Maintenant va falloir me prouver que vous gardez votre talent de rédacteur même dans des délais très raccourcis, le but est toujours l’édition. Faut aller vite.

- La vitesse, ça me connait, Monsieur White. Intervint-il.

Je ne savais pas comment me sentir ! D'un côté, j'étais contente de revoir Clark (oui, je devais bien me l'avouer... Dès que je croisais son regard, j'avais comme des papillons dans le ventre... Je me sentais toute légère (mais c'est horrible!! Qu'est se qui m'arrive!!)).

D'un autre, Clark était sans doute le collaborateur le plus prometteur que j'avais jamais rencontré... Il était certainement capable de me passer devant. Mon esprit de compétition était en train de s'emballer. Et en plus je devais lui mâcher le travail!! J'enrageais... Putain tu as des yeux magnifiques!! Arrgggg!

Perry nous congédia après nous avoir donné nos sujets de rédaction et je me dirigeais à mon bureau, Clark sur les talons. A mon grand étonnement il s'installa juste  face de moi. Je le regarderais surprise.

- Jimmy m'a dit que je pouvais m'installer ici. Dit-il innocemment.

- Bon, je suppose que tu es déjà briffer sur le fonctionnement du Planet... Maintenant laisse-moi te donner quelque règles de conduite avec moi.  Si en Afrique tu pouvais imposait ta loi...

- Imposer ma loi ? Moi? Dit-il en levant les sourcils interrogatifs. Ça n'a jamais était mon impression.

- J'ai jamais dit que j’étais du genre à faciliter la tâche ! Bref. Ici, t’es un p’tit nouveau, un bleu, si tu préfères ! Alors si tu ne veux pas te faire manger tout cru par les Lions de la jungle urbaine, je te conseil de ne pas trop d’éloigner de moi.


- ça me va très bien. Répondit-il en souriant. Même si je n’ai pas peur des Lions.

Bon sang, je sentais que les jours suivants allaient être très difficiles à gérer, mais surement intéressant rajoutais une petite voix plus profonde. Oui, surement très intéressant me répétais-je en me perdant dans ses yeux...



(à suivre...)

J'espère que ses retrouvailles vous ont plut... maintenant à vous de bosser un peu et de me dire se que vous en avez pensé :)

à trés vite pour la suite... maintenant je pense qu'on va en manger un peu du Clois... quoique... va bien falloir trouver quelques choses pour compliquer un peu tout ça... Des idées ?

lundi 11 février 2013

Beacon Of Hope Article 19





Pov Clark

Il était à peine 8h30 quand j’arrivais à Metropolis. J’arrivais dans cette grande ville, et j’étais toujours aussi impressionné. Ses building travaillés qui montaient jusqu’au ciel, ces lumières, cette vie qui grouillait partout, ce monde. Je n’avais plus l’habitude d’en voir autant. Il était rare de voir des cités aussi grandes dans les espaces ou je m’étais réfugié depuis plusieurs années. Bien au contraire, les endroits étaient même souvent dénués de toute population, me laissant le champ libre pour utiliser mes pouvoirs sans contrainte et danger.

Est-ce vraiment une bonne idée de venir ici ?

Je n’avais pas vraiment de réponse à ma question, mais je me sentais véritablement attiré par cette ville.
Mes parents avaient été surpris par ma décision. Déjà mon retour, puis mon désir de les quitter aussi vite pour venir m’installer ici.

« Clark, tu vas devoir faire continuellement attention à Metropolis. Il y a des yeux partout. Les gens ne sont pas aveugles. Si des gens découvraient tes capacités, tu risquerais de finir dans laboratoire…

- Et je serais disséqué comme une grenouille, je sais papa, tu me la déjà répétais cent fois.

- Chéri, pourquoi Métropolis ? Me demanda ma mère souvent plus perspicace pour mon comprendre.

- Perry White, le rédacteur en chef du Daily Planet m’a fait une proposition que je ne peux pas refuser. J’ai envie d’essayer. »

Ça faisait maintenant une semaine que j’avais repris contact avec Perry White. Depuis mon article sur le trafic d’armes au Kenya avec Lois, il m’avait fait une proposition pour que je travaille pour lui. Je n’avais pas refusé, mais je lui avais dit que pour moment, j’avais d’autres obligations. Il m’avait dit de le contacter quand je serai disponible. Alors, des que ma décision de rentrer aux Etats Unis fut prise, je l’avais fait. Maintenant, j’avais hâte de commencer.

J’étais juste devant le bâtiment du journal, un énorme globe entouré d’un anneau le surplombé. Ma nouvelle vie allait pouvoir commencer.

Je me dirigeais à l’intérieur, directement vers l’accueil. Une jeune femme me souriez depuis mon entrée dans le bâtiment, m’invitant à lui parler

- Bonjour,

- Bonjour, que puis-je faire pour vous ?

- j’ai rendez-vous avec Monsieur White, de la rédaction.

- Oui, Monsieur White, c’est le 7ème étage. Son bureau sera sur votre droite. Répondit-elle sans s’arrêter de sourire. Ils sont accueillant ici.

- Merci beaucoup.

Je me retournais pour aller vers les ascenseurs, devant une foule imposante. Les portes s’ouvrirent rapidement et un flux de gens se pressait pour sortir, puis d’autres pour rentrer. Je me fis une petite place et demandais à un jeune homme s’il pouvait appuyer sur le 7ème.

- C’est également là que je vais. Me répondit-il en appuyant sur le bouton.

Nous sortions tous les deux de l’ascenseur, et je l’interpelais.

- Excusez-moi, je cherche le bureau de Perry White.

Il m’indiqua, le bureau au fond de la rédaction, à droite. Je traversais la salle, regardant autour de moi si je ne voyais  une certaine petite brune qui n’était sans doute pas étrangère à ma décision de venir ici, mais cette information, je m’étais bien garder de la révéler à qui que ce soit. Mais rien. Elle ne semblait pas être ici.

« Tu la reverras bien un jour Kent ! Soit pas si pressé !

Je me retrouvais devant la porte de Perry White, Une petite appréhension avant d’ouvrir la porte. Voilà, c’était le moment, « tu t’engages pour des années. Après ce rendez-vous, se sera définitif. » J’étais prêt. Je frappais quelques coups et j'entendis une voix bourrue me demander d'entrer.

J’ouvrais la porte… Un homme d’une cinquantaine bien entamé était assis à son bureau et n’avait même pas levé le regard à mon entré. Il semblait concentrer sur ses lectures.

- Bonjour Monsieur White, je suis Clark Kent.

Il leva les yeux vers moi et me scruta quelques secondes avant de se lever et de se diriger vers moi.

- aaah, je ne vous attendais pas si tôt. Entrez, entrez. Dit-il en m’invitant à m’installer. Il me proposa une chaise devant son bureau et retourna à la sienne. Enchantez de vous connaître Monsieur Kent, c'est agréable de mettre enfin un visage sur une voix. Bienvenu au Daily Planet.

- Merci, je suis content de faire partie de votre équipe.

- Très bien, comme je vous l'ai dit au téléphone, je vous mettrais en partenariat avec Lois Lane.

A l’évocation de son nom, je sentais mon attention se renforcer.

- Comme vous avez déjà travaillé ensemble, elle ne devrait pas refuser. Elle est du genre têtu. Ajouta-t-il.

 - ça, je ne vous le fait pas dire. Commentais-je me rappelant a qu'elle point, malgré toutes mes réticences, elle arrivait toujours à faire tout ce qu'elle voulait.

- Bon, elle n'est pas encore au courant, je viens de l'envoyer à une conférence du Maire de Métropolis. Vous allez  profiter pour visiter les lieux, et ensuite vous irez signer votre contrat à la RH. "Jimmy". Se mit-il d'un coup à hurler. "Venez ici tout de suite!"

Quelques secondes après, le jeune homme de l'ascenseur passa une tête dans l'entre bâillement de la porte du bureau.

- Oui Chef? Demanda-t-il.

- Entrez Jimmy.  Je veux vous présenter notre nouveau reporter. Clark Kent, voici Jimmy Olsen, notre assistant.

- Photographe, ajouta-il en me serrant la main. Enchanté Monsieur Kent.

- Clark. Répondis-je pour l'inciter en enlever le "Monsieur", enchanté.

- Jimmy travaille souvent avec Lois. Continua Perry White devant le jeune homme qui approuvé son patron d’un hochement de tête a chaque fin de phrase. Jimmy, je voudrais que tu fasses visiter les locaux à notre nouveau collaborateur. Il faudrait aussi que tu lui trouves un bureau proche de celui de Lois, il va être son nouveau partenaire.

Jimmy approuvé par son signe de tête, jusqu'au mot partenaire, ou il sembla surpris.

- Vous voulez mettre un partenaire a Lois, chef!? Demanda t'il presqu'en s'étranglant. Vous êtes sûr qu'elle va accepter ?

- C'est encore moi le patron ici, a ce que je sache! S'énerva t'il rapidement.

- Euh, oui oui chef, je disais juste...

- Ne dites rien, et allez faire découvrir les bureaux à monsieur Kent. Je m'occupe de Lois. Dès que vous la verrez, vous me l'envoyer direct, compris ?!

- Compris chef. Répondit Jimmy tout penaud.

Le rédacteur nous fit comprendre qu’il en avait fini, alors je suivis Jimmy à l’extérieur. Il me fit rapidement visiter les locaux. Il était plutôt sympathique, plein d'entrain et avez l'air vraiment d'apprécier sa vie ici. Il avait dû me présenter à une bonne cinquantaine de personnes. Encore heureux que j'avais une mémoire de dingue, pour pouvoir retenir toutes les informations qu'il me donnait. Vers 11h, il me proposa une pause-café, l'ambiance devint très vite plus amicale.

- Alors? Que faisais-tu avant de venir au planet? Me demanda-t-il intéressé.

- J'ai beaucoup voyagé. On peut dire que j’ai appris le métier plus sur les routes que dans un journal.

- J’ai cru comprendre que tu allais faire équipe avec Lois Lane.

- Oui, c’est bien ce que j’ai compris aussi, pourquoi ?

- Je ne veux pas te décourager CK, et surtout ne le prend pas pour toi... mais je connais bien Lois, et je ne suis pas sûr qu'elle accepte si facilement de faire équipe avec quelqu'un.

- Pourquoi ça?

- Lois est une femme formidable, et niveau boulot, c'est la meilleure. Mais elle n’est pas vraiment du genre partageuse, si tu vois se que je veux dire... Elle veut les scoops pour elle.

- J'ai lu beaucoup de ses articles. Elle a des sujets souvent très intéressant.

- Ah ça, c’est sûr, mais , si tu veux mon avis, il ne lui arrive pas si facilement que ça… si y'a un truc qui sent potentiellement le scoop, Lois y va tête la première. Je ne sais pas comment elle s'en est sorti indemne jusqu'à aujourd'hui. Elle n'a peur de rien cette fille. Dit-il avec admiration.

- Tu as souvent travaillé avec elle.

- Oui, très souvent. La dernière fois, nous nous sommes infiltrés dans un entrepôt secret, deux hommes sont entrés, j'ai bien cru qu'on y passerait. Mais non, elle doit avoir une chance de dingue. En tout cas, tu vas travailler avec la meilleure, ça ne sera pas facile, mais elle est géniale.

J'avais hâte de la revoir. Suite à ma conversation avec Jimmy, Je me demandais vraiment si ça serai aussi facile que je le pensais au départ. En tout cas, le caractère de Lois que j'avais découvert en Afrique, ne semblait par surfait.

Après le café, Jimmy m'accompagna jusqu'à la direction RH, et après avoir validé tous l'administratif, je redescendis à la salle de rédaction. Contrairement à tout à l'heure, il y régnait une ambiance beaucoup plus tendue. Il y avait beaucoup moins de bavardage, tous semblait observé et attendre quelque chose. Je ne dû pas attendre bien longtemps pour comprendre ce qu’il se passait. A travers la porte de Perry White, il s’échappait deux voix aussi mécontente l’une que l’autre.

" C’est hors de question que je joue les nounous avec le p'tit nouveau que vous avez embauché!"

Tout le monde tourna la tête vers moi, Jimmy compris, et les chuchotements reprirent de plus belle.

- ça arrive souvent ? Demandais-je à Jimmy étonné par la force de leur colère.

- Euh... Oui, assez régulièrement. Ne te formalises pas pour si peu CK. C’est un peu leur façon de communiqué. De toute façon, elle n'aura pas le choix.

Je me dirigeais vers le bureau, ou les cris continuaient. Pour une fois, je n’avais pas besoin de ma super oreille pour écouter une conversation privé… ici, tout le journal en profiter.

Perry essayait d'argumenter sur l'attrait pour Lois d'avoir un partenaire, mais elle restait retissante. Savait-elle que c’était moi ?

- Perry, je vous en prie, le partenariat, c’est comme un mariage.

- C’est exact, et c’est ça qui est génial.

- Ça demande de la patience, de la compréhension et surtout des trésors de bonne volonté. C’est-à-dire, tout ce que je ne suis pas !

- Je sais mon chou, courage ! Maintenant, laissez-moi vous présentez votre moitié.

En tout cas,  nous allions bientôt le savoir. J’entrais dans le bureau et je me raclais la gorge pour prévenir de ma présence…

(à suivre)

J'espère que le retour de Clark vous à plus... et ne m'en veuillez pas trop pour terminer à ce moment là... :p

samedi 9 février 2013

Beacon of Hope Article 18



Nous arrivions devant l’appartement de Chloé.

- Tatam. Bienvenue chez moi cousine. Dit-elle en ouvrant la porte.

A premier vue, son appartement était à son image, coloré, frais et joyeux. Elle m’invita à m’assoir dans son petit salon. Je posais mes affaires. Il faudra que je fasse un peu le tri dans mes notes de la journée pour pouvoir faire mon article (que j’avais toujours autant envie d’écrire) ;

- Tu veux boire quelque chose?

- Oui, un soda s’il te plait, bien frais. Tout ce champagne m’a donné soif. Rigolais-je.

- Pas de soucis.

Elle se dirigea vers la cuisine et j’en profiter pour jetais un œil à sa décoration. Il y avait quelques photos sur son mur et je m’approchais du pèle mêle. Il y avait une ancienne photo de nous deux. C’était à une soirée d’anniversaire, ses 20 ans, je crois bien. Je souriais repensant à la cuite que Chloé avait eue à cette soirée. Cette photo devait être le seul souvenir qu’il lui restait tellement elle avait bu. D’autres photos semblait daté du lycée, elle avait un peu changé, plus femme, c’est sûr, plus sure d'elle. Avait-elle gardé contact avec tous ses amis du lycée elle? 

J’allais me détourner des images quand mon regard fut attiré par un visage... Grand, brun, les yeux bleu... Mais... C’est Clark ? Pas possible…

Je décrochais le cadre du mur, afin d’observer plus attentivement la photo. Je n’en revenais pas, mais effectivement, sur cette photo datant du lycée il y avait Chloé et juste à cote Clark qui poser tout sourit devant l’objectif !

- Ne fait pas attention à ma tête, elles datent ses photos.

Je sursautais un instant, puis je me retournais vers ma cousine qui revenait avec deux verres plein de coca.

- Faudrait que je pense à les changer. Continua-t-elle, mais je suis encore nostalgique du lycée.

- Oui, je peux comprendre. Répondis-je pas très attentive et toujours sous le choc de ma découverte.

- Ici, c’est tellement plus dur de se faire de vrais amis, les gens sont si méfiants.

- C’est vrai, tu as raison. C’est l’effet grande ville.

Je tendis le cadre avec la photo de Clark à ma cousine, et je lui montrer du doigt son image.

- Il s’agit de Clark Kent sur cette photo n’est-ce pas?

Elle me regarda étonnée,

- Euh, oui, c’est bien Clark. Tu le connais?

- Je l’ai rencontré, il y a peu.

Elle me regarda encore plus étonnée.

- Tu es resté en contact avec lui? Demandais-je

- Oui et non. Répondit-elle une pointe légèrement triste dans sa voix. C’était mon meilleur ami a Smallville, mais les relations ont été de plus en plus difficiles, nous nous voyions toujours beaucoup pendant nos études, mais depuis quelques années il est parti découvrir ce que le monde pouvait lui apporter. Et même s’il me donne régulièrement des nouvelles, son amitié me manque. Mais toi, raconte-moi, quand l’as-tu vu? Ce n’est pas à Métropolis rassure moi?

Je lui souris.

- Non, il n’est pas rentré sans venir te voir, rassure toi. Je l’ai rencontré au Kenya, nous avons travaillé sur un sujet similaire et nous avons fini par le faire ensemble.

- Ton article sur Bruno Mamheim ?

- Oui, il a d'ailleurs écris un papier pour le spécial monde du planet.

- Mais oui biensur... Tu es la fameuse journaliste brillante et intrigante qu’il a rencontré chez les... Ooh... Je ne sais plus… Elmino.

- Elmono. Corrigeais-je gentiment me sentant plus légère.

- Oui, c’est ça. Il ne m’avait pas dit ton nom, mais maintenant que tu en parles. Il m’avait parlé de cette affaire, sans me dire qu’il avait était publié au Daily Planet ! Continua-t-elle mécontente.

- Alors il t’a parlé de moi? Dis-je me sentant ridicule d’attendre avec impatience de savoir ce qu’il avait bien pu dire de plus.

- Oui, tu lui as fait un sacré effet dis donc. Dit-elle malicieuse. Si d'habitude il est bien discret sur quelque chose c’est bien les femmes.

- Ah oui ? Demandais-je trop intéressée.

- Mais dis-moi, toi aussi tu sembles avoir était marqué par cette rencontre?

Je me sentis rougir.

- Euh... Disons que nous avons vécu la bas une aventure qui laisse des traces. Répondis-je sibylline.

- Comment ça? Demanda-t-elle curieuse.

- Disons que l’arrestation de Bruno Mamheim n’aurai pas pût de faire avec autant d'implication personnel et sans Clark  je ne pense pas que je serai toujours de ce monde aujourd’hui.

- Il t’a sauvé la vie?

- Oui. Et pas dans les conditions les plus faciles. Il a fait preuve de beaucoup de sang froid et de courage. Et… c’était impressionnant quand j’y repense. Il aurait pu se faire tuer.

- ça ne m’étonne pas trop. Je crois que je l’ai toujours connu comme ça.

- Vraiment ?

- Oui. Dit-elle pensive.

- Tu es sorti avec lui au lycée? Demandais-je après quelques secondes silencieuses ou je la senti rêveuse.

Elle me regarda et se mit à rire.

- Oh non, sourit-elle. Je ne nie pas que j’aurais bien aimé, à l’époque. J’étais plutôt très attirée par lui au lycée et j’espérais très fort qu’il me remarque autrement que comme une amie. Mais, hélas pour moi il était déjà amoureux d'une fille avec qui, je ne sais pas vraiment pourquoi, ça a toujours sembler compliquer. Lana Lang, le grand amour de Clark Kent. J’ai fini par me faire une raison. Mais au moins nous étions amis. Ça me suffisait.

Pourquoi l’évocation d'un grand amour me faisait un tel pincement au cœur. Je refusais de me sentir si vulnérable. D' accord, il m’avait sauvé la vie, d'accord il était intelligent et charmant,  d'accord aussi il était plutôt mignon et gentil. Et son cote mystérieux était attirant. Mais ça rester qu’un mec, et j’avais eu ma dose de déceptions sentimentales. La plus dure restait sans doute Bruce Wayne, avec qui j’étais sorti plusieurs mois, avant que je comprenne qu’il y aurait toujours quelques choses qui passerai avant moi, sans savoir que c’était un nombre de pouffiasses incalculables. Et comme il la si brillamment montrer aujourd’hui, nous étions plus au courant des frasques du Playboy milliardaire que du garçon charmant et torturer que j’avais connu il y a longtemps.

Encore aujourd’hui, je me demandais si j’avais réellement compté pour lui ou si j’étais catégorisée à la même enseigne que toutes les poules que nous voyions a son bras. Ma fierté en prenait toujours un coup. Depuis cette relation, je m’étais promis de ne plus faire confiance à un mec, et de ne jamais m’attendrir avec une sensiblerie trop niaise... Et pourtant je sentais qu’avec Clark ce n’était pas très loin de le devenir...
Non non non, donne toi des claques mentales ma belle, si tu continues sur cette voie-là !

Le reste de la soirée avec Chloé passa plutôt rapidement, j’essayais de ne plus évoquer Clark, histoire de ne pas passer pour une accro, même si je mourrai d’envie d’assouvir ma curiosité... Étais-je a ce point accro? Non non non, juste une bonne journaliste, curieuse, normal dans mon métier, et Clark était un confrère qui pouvait, je devais le reconnaitre, facilement me faire de l’ombre.

J’avais donc réussi à comprendre que Chloé travaillé de façon très étroite avec Bruce Wayne, sans réellement comprendre se qu’elle faisait exactement. C‘était en rapport avec l’information et l’informatique. Elle savait garder ses secret, mais concernant un mystérieux prétendant, je pense qu’elle avait plus de mal à le cacher, vu qu’elle rougissait à chaque fois que j’évoquais une potentiel relation amoureuse.

- OK OK, j’avoue tout. J’ai effectivement rencontré quelqu’un. Mais pour le moment, c’est pas vraiment très définie, alors, je ne préfère pas trop en parler.

- Tu peux au moins me dire comment il est ? Insistais-je. Nous avions toujours parlé de nos relations amoureuses sans tabou quand nous étions adolescentes. On passait des heures, la nuit à discuter au grand désespoir du Général, qui n’arriver jamais vraiment à nous faire taire… Et c’est vrai. Les étés, elle me parlait de cet ami sur lequel elle fantasmait grave, mais qu’il ne comprenait jamais rien.

- Bon, d’accord. Il s’appelle Ollie, il est plutôt grand, bien foutu, comme tu les aimes, sauf que celui-là est blond. Il est plutôt amusant, pas très conventionnel. Mais il sait être gentil et adorable quand il veut.

- Ah oui, je vois…

- Quoi ?

- Oui, t’es bien mordu ! Éclatais-je de rire.

- Oh, ça va !! Feintât-elle l’agacement tout en me lassant amicalement un cousin de son canapé.

Nous passions une soirée très agréable, mélange d’anciens délires et de vieux souvenirs. Ça faisait du bien de se voir. Plus tard, elle transforma son canapé en lit. Ma journée avait commencé tôt, j’étais contente de pouvoir enfin me reposer un peu. Pourtant, au lieu de ça, je me remettais à penser à Clark.

Illustration fait par EricaClois... Un grand merci à elle ;)
C’était étrange qu’au Kenya je n’avais pas fait le rapprochement avec Smallville et ma cousine. Pas que je connaissais bien la ville, au contraire, je ne me souvenais pas y avoir jamais mis les pieds. En générale je voyais ma cousine aux camps militaires ou en vacances ou même à Métropolis. Je la taquinais souvent sur sa campagne, me demandant si elle ne s’ennuyait pas trop et qu’elle ne devait pas pouvoir trouver grand-chose de glamour la bas... C’était avant de rencontrer Clark!

Claque mentale !

N’importe quoi! A quoi ça t’avance d'avoir des pensés pour ce mec que tu ne reverras sans doute jamais. Quoi que s’il est ami avec Chloé, peut être que...

Claque mentale !

Ce n’est pas vrai, tu vas ne pas te mettre à penser à lui alors que tu as réussi à tenir depuis plus d'un mois !
Pourtant, des images de moments que nous avions partagé au Kenya me revenaient en mémoire. Ces moments ou Clark à réussit, sans le savoir réellement à me toucher.

Flash Back

Je le revoyais, toujours disponibles, toujours attentifs envers tout le monde. Il allait chasser avec les hommes de la tribu, puis quand il revenait, il donnait ses vivres aux familles avant d’aller jouer au football  avec les enfants de la tribu, dont Jenky qui ne cesser de réclamer sa présence.

- Hey Clark, joue foot avec nous. Avait-demandé Jenky, toujours à vouloir parler anglais.

- Ok! Répondit-il alors qu'il venait à peine de rentrer au camp.

J'espérais discuter de notre enquête... Notre enquête, je me sentais presque mal à l'aise de penser de cette façon, alors qu'il avait tout découvert tout seul, et tout partager. C'était étrange de voir un tel homme, rare, il était gentil, attentionné et avec tout le monde. Je comprenais mieux, comment il avait réussi à se faire adopter aussi rapidement. Il semblait sincère, naturel, sans aucune méchanceté, et pourtant, il n'était pas naïf pour autant. C'était autre chose. Et malgré moi cette constatation me plaisait.

Lois arrête de penser à ça ! Me martelais-je mentalement.

Tu sais bien que les hommes sont tous pareil! Tu as déjà fait assez les frais avec Bruce, que tu croyais aussi un honnête homme... Mais ils finissent toujours par montrer leurs vraies natures...

Sauf que Clark, n'avait rien à prouver. Et il ne semblait pas être différent depuis mon arrivée, il en avait rien à faire de moi. C'est à peine s'il ne m'évitait pas! Il vivait juste sa vie en solitaire.
En tout cas, Il n’essayait pas de m'impressionner... Ou alors, il était loin de me connaître... Quoi que, qui aurait pu croire que de le voir simplement s'amuser avec des gosses puisse me faire de l'effet??

Non tu débloques complet là Lois Lane ! Reprend toi nom d'un chien!!

Enfin, c'est pas comme si tu ne l'avais pas trouvé sexy quand tu l'avais découvert pour la première fois, avec ses poissons pendant à sa taille et son air d'aventurier, ou simplement quand tu l'avais surpris totalement nu dans le bassin, concentrer et se croyant seul, essayant de se maintenir en équilibre dans la cascade.

Si Clark Kent avait un corps de rêve et était plutôt sexy ! Mais c'est un homme, qui plus ai, un confrère! Et les journalistes sont tous des hypocrites, qui sont près à tout pour un scoop. Pourquoi serait-il différents? Il t'a donnée son Sujet? Me disait une petite voix? C'est seulement parce qu'il n'a peut-être pas l'étoffe pour Le faire tout seul? N'oubli pas que c'est le Clark Kent qui a écrit l'article sur à la mort d'Abousa qui t'a tant impressionné et qui a réussi à remuer tout leur monde politique? Qui est-il donc? Finis-je par me demander, le fixant toujours, sans qu'il ne fasse véritablement attention.

Il jouait simplement, envoyant le ballon aux gamins, faisant le pitre même, se qui les faisait tous rire et je devais reconnaître que moi aussi!! Alors là, si tu commences à ressembler à ses ménagères sentimentales t'es pas sorti d’affaire !

Arrête de t'attendrir pour un type que tu ne rêveras sans doute jamais après cette enquête.

Il finit par me regardait de loin, me demandant de se joindre à eux! Je lui répondis instantanément!

- Tu me prends pour une campagnarde Smallville, je ne joue pas a des jeux comme ça!

Il se mit à rire !

- Dommage, c'est pas si ringard que ça de juste se laisser aller ! Répondit-il

Pourquoi devait-il toujours frapper ou ça faisait mal ! Qu'est se que j'avais pu penser avant... Qu'il était sexy? Je débloque, c'est un goujat, qui pense avoir raison. Il est comme tous les autres! S'il croit qu'il me connaît!! Je me levais et décider de retourner à ma hutte. Il fallait que je trouve un moyen d'aller dans le fameux entrepôt dont Clark m'avait parlé... Je savais qu'il était loin d'ici et n'avait aucune idée de l'endroit exacte ou il se situait, mais il fallait que j'essaie de convaincre Clark de m'y emmener.

Fin du flash back de Lois

Qu’est se qui arrivé ? Pourquoi pensais-je si souvent à lui ?

Je me retournais plusieurs fois dans mon lit, espérant trouver une position qui me permettrait de m’endormir rapidement. Mais rien n’y faisait, le sommeil mis du temps à arriver, se qui me laissa bien trop de possibilités de revoir tous les attraits de Clark Kent !!

.... à suivre.

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La prochaine fois... C'est SURPRISE !! On change de point de vue... :p