mercredi 28 novembre 2012

Beacon Of Hope Article 06




Depuis ce jour, j’essayais d’éviter encore plus Lois. Alors qu’elle faisait tout pour se rapprocher de moi. Ses révélations sur cet « homme volant » qui parcourais le monde m’avais rendu nerveux. Et si elle me redécouvrait encore en train de voler, je doute que cette fois, elle ne fasse pas le rapprochement. En plus, si la grande Lois Lane croyait en cette histoire et qu’elle enquêtait, je n'étais pas sûr du tout d’avoir été assez discret pour qu’elle ne finisse pas par découvrir quelque chose. Comment allais-je m’en sortir. Je devais me vraiment me faire oublier.

- Clark, ou cours- tu encore comme ça ? L’entendais-je alors que je m’apprêter à sortir en foret.

- Je vais juste faire un tour.

- Tu vas à l’entrepôt d’armes? Demanda-t-elle  en chuchotant.

- Non !

- Ho ! Dommage…. Répondit-elle déçue. Je peux d’accompagner ?

- Je ne suis pas sur que se soit une bonne idée. Tu sais, la jungle c’est dangereux.

- Dixit l’homme des cavernes parce qu’il a quelques choses entre les jambes que je n’ai pas… répondit-elle sarcastique.

 Je lever les yeux au ciel.

- S’il te  plait ? supplia t-elle comme une enfant.

- Tu as gagné ! répondit-je et elle me fit un grand sourire. Je reste ici. Finissais-je.

Cette fois, c’est elle qui leva les yeux au ciel.

Je reparti vers ma hutte et Lois se précipita derrière moi.

- Clark, j’ai une idée. Pourquoi ne pas organiser un treck aux abords de l’entrepôt. Peut-être qu’a deux, on pourrait découvrir d’autres choses. Dit-elle avec grand enthousiasme.

 Je me retournais pour lui faire face.

- Lois, se n’est pas une balade. C’est dangereux. Et loin.

- Ce n’est pas se que je voulais dire. C’est juste que j’aie envie de voir par moi-même cet endroit. Et puis, je n’aurais jamais fait ce métier si je n’étais pas prête à prendre des risques Clark !

-  Je ne sais pas trop, hésitais-je... Lois, entrepôt, armes à feu... c'était des termes qui ensemble m’angoisser sans que je ne puisse dire réellement pourquoi.

-  S’il te plait. Me supplia-t-elle encore une fois.

-  Tu veux qu’on travaille ensemble maintenant ? Demandais-je surpris.

- Je ne te piquerai pas ton scoop Clark. C’est toi qui a trouvé l’info, je t'assure. Mais j’aimerai participer et mettre ces gens là ou il le mérite, derrière les barreaux. C’est mon métier de découvrir la vérité et d’arrêter les truands.

- Je vais voir se que je peux faire Lois. Mais je ne pense pas que tu devrais venir là bas.

- Je te laisse décidais. Après tout c’est ton scoop.

- Si c’est mon scoop, pourquoi veux-tu prendre autant de risque ? Mais à peine formulais-je ma question, que je compris instantanément la réponse. Tu penses que  ton homme volant peut faire partie de ce trafic ?

- Quoi ? Non, biensur que non. J’ai du mal me faire comprendre la dernière fois. Cet homme volant, s’il existe, il n’est pas le genre "trafiquant d’armes" ou autre. Ce serai même plutôt le contraire. Un genre de héros… Les gens qui disent l’avoir aperçu le décrive comme un homme gigantesque, certain le disent blanc, d’autres halé, la peau mat. Apparemment il serait brun. Les témoignages ont l’air de concorder sur ce point. Et il a une force hors du commun, il serait même peut-être insensible au feu. Les récits le concernant sont assez incroyables. Mais souvent auréolé de choses invraisemblables. Je n’arrive pas à démêler le vrai du faux. En tout cas, il n’est certainement pas impliquer la dedans.

- Tu as l’air de l’admirer. Dis-je toucher.

Elle rougit instantanément.

- Non, ce n’est qu’un article Clark ! Mais disons que s’il existe… enfin…  tu te rends compte de ce que ça veut dire ? Il y aurait une sorte de super héros.

- De super-héros ?

- Oui. Dit-elle plus que convaincu. Et si je suis la première à le trouver et à l’interviewer, je te jure que le prix Pulitzer et pour moi. Et pour lui, peut-être le prix Nobel de la paix. Dit-elle dans un sourire. 

Je ne pu m’empêcher de lui rendre son sourire. Elle avait l’air si enthousiaste.

- Et alors, tu as  découverts des choses sur lui ici ? Demandais-je prudent.

Elle se rembruni

- Non, pas de trace de lui ici. Chez les Elmono, le seul homme brun/blanc et fort dont me parle Jenky c’est toi !  Il a une  certaine admiration de toi ce gamin tu sais ça ?

- Oui, j’avais remarqué.

- Bref, Il me dit « Clark très fort, lui bon chasseur et homme blanc ».

Je lui souris.

- Donc, je ne voudrais pas te vexer, mais tu es loin des descriptions que l’ont à pu me faire. Je n’ai absolument rien.

- Ah oui ? Je suis brun pourtant. Répondis-je. 

Tu joues avec le feu là Kent… qu’est se qui te prend ?!

Elle se mis à rigoler.

- Oui, comme des millions d’hommes sur cette Terre. Mais bien que tu sois grand, t’es pas non plus gigantesque, et surtout est-ce que tu voles Clark ?

-        Euh… répondis-je, ne sachant pas réellement si je pouvais lui mentir sans qu’elle ne le remarque.
Elle me regarda en soupirant.

-        Ne fait pas l’imbécile,  Clark ! dit-elle en me donnant en coup de poing amical sur mon épaule. Je ne te parle pas de prendre l’avion. 

Je lui souris. C’était peut-être plus facile de blaguer avec elle plutôt que de lui mentir.

-      - Donc tu n’es pas « « l’homme volant » me sourit-elle amicalement. Et si tu fini par le croire, dis le moi, je t’emmènerais volontiers voir un psy moi-même !

Je ne pouvais pas m’empêcher de sourire à ses blagues. Et au moins, j’étais fixé, elle semblait n’avoir aucun soupçon me concernant. Après cette conversation je me sentais rassurer. Et la côtoyer devenait plus facile.

Concernant l’entrepôt, je retournais le voir plusieurs fois, et je fini par surprendre une conversation téléphonique qui me confirmera qu’une importance cargaison devait être transférer bientôt. Des gardes supplémentaires devaient venir et la protection se renforçait. Je pense qu’il était temps de décrocher mon scoop. Avec Lois toujours dans le village, je ne pouvais pas faire comme si je me débrouillé seul. J’espérai donc convaincre Killy de me servir une nouvelle fois de guide jusqu'à la frontière et ensuite me diriger seul à l’entrepôt. Il me fallait des preuves avant de faire intervenir  le gouvernent ou l’ONU. Et il me les fallait de la manière la plus fiable possible pour un humain. Maintenant, je n’avais plus droit à l’erreur...


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